A Anal-Land et à l’UFP, nous étions et nous sommes toujours pour le CPE. Fidèle compagnon des jeunes de moins de 26 ans, il est celui qui compte, depuis la première de nos immersions domestiques, chacune de ces bulles dont on tait l’origine mais dont on ne sait stopper l’inondation olfactive. Il est celui qui, jusqu’à la dernière de nos ablutions profanes, fait d’un grand moment de solitude ce délicieux instant de sérénité que nous connaissons tous. Et voilà que maintenant nous ne souhaitons plus le voir à nos cotés et nous lui faisons porter la lourde responsabilité d’une réalité socio-hygiénique déficiente et moribonde.
Les CPE sortent des bains et envahissent les lieux publics pour exprimer leur mécontentement.
Réveillez-vous, par pitié, allez-vous laisser ces anti-CPE marginaliser nos flotteurs d’eau sale de bain pour l’unique et aberrante raison qu’il serait devenu la proie d’un fléau aviaire dont nous ne savons rien. On avons enterré le CPE et aujourd’hui, il ne reste plus dans nos bains que l’eau croupie de nos regrets.
A Anal-Land, se gratter le nez est devenu une marque de soutien à l’égard des CPE en situation précaire.
Combien même nous eussions été inondés de CPE contaminés au virus asiatico-aviaire : de l’eau sale reste sale après s’être lavé, et ce n’est pas le CPE qui l’a salit mais bel et bien nos frasques infantiles, l’autosuffisance chronique d’un société qui a du mal à enjamber les grilles d’un bac à sable où il fait bon être sale. Nous avons l’entière responsabilité de notre état de crasse, et le CPE n’est là que pour nous le rappeler, le supporter même. Nous devrions réfléchir à tout cela. Dois-t-on véritablement sacrifier le Canard en Plastique qui Eclabousse sur l’autel de la déraison, d’une ingratitude nationale qui cherche vainement à dissimuler, en désavouant un simple bout de plastique jaune de fabrication étrangère un malaise bien plus profond et ancré en chacun de nous ?
Tout ça pour dire qu’à l’UFP, nous avons décidé d’organiser une première manifestation pour le retour du CPE. Ce fut un réel succès malgré quelques débordements regrettables mais néanmoins efficacement contenus par notre personnel d’encadrement.
Des chiasseurs pris en tenaille par notre service d’ordre, les CRS (Canards qui Récurent Sans-laisser-de-traces)
Nous avons rencontrés les principaux acteurs politiques et sociaux concernés par cette lutte et notre appel fut entendu. Des CPE venus de toutes les contrées d’Anal-Land ont répondu présent ce jour-là pour nous expliquer leur détresse, et de poignants témoignages de CPE infectés et précarisés ont d’ores et déjà fait l’objet d’une publication aux éditions Achèt’les livres à Souille.
Des invités de marque à Anal-Land : le 1er ministre Français et le parasite Souille.
Bien entendu, tous ceux qui souhaitent nous rejoindre dans ce combat pour la sauvegarde du CPE de notre enfance sont invités à rejoindre nos rang en arborant fièrement l’étendard de notre parti et en joignant à cet étendard les quelques sous que constituent la modeste contribution annuelle de 250 euros.
Bientôt dans toutes les librairies
Les CPE sortent des bains et envahissent les lieux publics pour exprimer leur mécontentement.
Réveillez-vous, par pitié, allez-vous laisser ces anti-CPE marginaliser nos flotteurs d’eau sale de bain pour l’unique et aberrante raison qu’il serait devenu la proie d’un fléau aviaire dont nous ne savons rien. On avons enterré le CPE et aujourd’hui, il ne reste plus dans nos bains que l’eau croupie de nos regrets.
A Anal-Land, se gratter le nez est devenu une marque de soutien à l’égard des CPE en situation précaire.
Combien même nous eussions été inondés de CPE contaminés au virus asiatico-aviaire : de l’eau sale reste sale après s’être lavé, et ce n’est pas le CPE qui l’a salit mais bel et bien nos frasques infantiles, l’autosuffisance chronique d’un société qui a du mal à enjamber les grilles d’un bac à sable où il fait bon être sale. Nous avons l’entière responsabilité de notre état de crasse, et le CPE n’est là que pour nous le rappeler, le supporter même. Nous devrions réfléchir à tout cela. Dois-t-on véritablement sacrifier le Canard en Plastique qui Eclabousse sur l’autel de la déraison, d’une ingratitude nationale qui cherche vainement à dissimuler, en désavouant un simple bout de plastique jaune de fabrication étrangère un malaise bien plus profond et ancré en chacun de nous ?
Tout ça pour dire qu’à l’UFP, nous avons décidé d’organiser une première manifestation pour le retour du CPE. Ce fut un réel succès malgré quelques débordements regrettables mais néanmoins efficacement contenus par notre personnel d’encadrement.
Des chiasseurs pris en tenaille par notre service d’ordre, les CRS (Canards qui Récurent Sans-laisser-de-traces)
Nous avons rencontrés les principaux acteurs politiques et sociaux concernés par cette lutte et notre appel fut entendu. Des CPE venus de toutes les contrées d’Anal-Land ont répondu présent ce jour-là pour nous expliquer leur détresse, et de poignants témoignages de CPE infectés et précarisés ont d’ores et déjà fait l’objet d’une publication aux éditions Achèt’les livres à Souille.
Des invités de marque à Anal-Land : le 1er ministre Français et le parasite Souille.
Bien entendu, tous ceux qui souhaitent nous rejoindre dans ce combat pour la sauvegarde du CPE de notre enfance sont invités à rejoindre nos rang en arborant fièrement l’étendard de notre parti et en joignant à cet étendard les quelques sous que constituent la modeste contribution annuelle de 250 euros.
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