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12h25: ce qui sort de mon entre-fesses est aussi pure que de l'évian...
Dans moins de deux heures, on va m’amener à la clinique, en me promettant milles merveilleux cadeaux si je reste sage dans mon box et si je ne glisse pas quelques prouts volontaires entre les incontrôlables vents pour taquiner les p’tites mémés voisines de box…
Après l’opération, je dors et je bouffe au quick pour reprendre mes kilos perdus…
Dans l’antre des Pétoux monstrueux, il n’y a pas de chambres, mais une seule et grande pièce divisée en plusieurs box séparés par quelques rideaux et de fragiles cloisons… L’ambiance y est insupportable : entre les visages grimaçants et les corps tremblants, le doux chant des chasses d’eau purificatrices ne suffisent pas à camoufler les hurlements de douleurs des analiens meurtris et déshonorés par la torture endoscopique que les rebelles humains scientifiques pratiquent tous les jours, sans que personne ne réagisse…
On m’amena dans la salle de tortures. Une fois l’anesthésiant diffusée, je perdis conscience très rapidement.
[A partir de là, mes écrits sont le fruit de ce que me chuchotèrent les malagons : neurones indépendants évoluant dans mon subconscient astral et surveillant mon enveloppe terrestre quand celle-ci est mise en veille]
Alors que le docteur introduisait la fine tige pourfendeuse d’intimité sacrée, l’infirmière chuchota au creux de l’oreille de l’anesthésiste : il me semble reconnaître Souille, l’ancien comique de planetemu…J’ai entendu dire que l’on pouvait insérer plus de trois trophées en or dans son derrière ! « Ah oui ? » répondit l’anesthésiste, « en effet, son orifice me semble bien malléable…voyez comme j’y passe facilement mes deux bras… » Le docteur, troublé devant cette curiosité physique, décidait d’en entreprendre l’exploration plus en profondeur : il y passa la tête quand soudain, l’orifice se referma violemment ! Un vent de panique souffla dans la salle d’examen, l’infirmière et l’anesthésiste tentèrent vainement d’extraire la tête du docteur de cet amas de tissus corporels visqueux, mais rien n’y faisait. « Ca puducu, ça puducu !» hurlait désespérément le prisonnier de mes deux lèvres anales devenues folles.
Après plusieurs minutes d’efforts, la pression devint moins violente, l’orifice agresseur se dilata de nouveau et on tira le docteur de son inconfortable posture… Le personnel était soulagé mais néanmoins choqué face à l’horreur de l’événement. Le docteur se releva, s’essuya le visage sur sa blouse et invita ses collègues à ne dire mot à personne de ce qui venait d’arriver…
[Retour à l’état de conscience]
« Vous n’avez rien ! » conclut le docteur venu me voir quelques minutes après l’examen. Je ne vous cache pas mon soulagement, chers membres de planet, car il est vrai qu’en d’autres temps, l’usage que je faisais de ma zone analienne aurait pu occasionner, sur le long terme, quelques malheureux dommages intérieurs… Il n’en est rien, fort heureusement, mais je reste dubitatif face au regard devenu sombre et inquiétant de ce docteur jusqu’alors fort aimable et d’une agréable convivialité… Aurait-il été la victime d’une attaque analienne pendant l’examen? Pire encore, aurait-il été absorbé par un analien guerrier ? C’est ce que peut laisser penser ses étranges dernières paroles, alors que je sortais de son cabinet : « Analienis vengeanti Puducu-est ! »
Dernière modification par souille, 15 septembre 2006, 09h22.
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