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Le monde du jeu vidéo francophone va mal ...

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    ... et c'est peu dire,

    Grace au fait que Cryo America à racheté Cryo France, l'un des pilier du jeu vidéo francophone qui à été sauvé de justesse de la faillite. Mais malheureusement cela n'a pas été le cas pour des boites comme Lankhor et Kalisto. Maintenant c'est Delphine software qui dépose le bilan. Sans rappeler que Infogramme aussi à été sur la corde raide il y a peu. D'autres maisons grandes ou petites ont totalement disparus de la circulation, il suffit de vous retourner et de regarder les anciennes boites de jeux qui se trouvent sur vos étagères, les noms y figurant vous rappeleront la larme à l'oeil (pour les passionnés) que cela fait longtemps que vous n'avez plus vu une de leurs productions.

    Il est triste en effet de constater que cette écatombe à débuté avec la grande venue des cartes 3d, de nouvelles boites sont nées et ont noyées le marché de jeux presque souvent indigestes. Cette révolution technologique dans le monde de l'information aurait pu laisser croire que cela aurai permis à des esprits inventifs, imaginatifs de nous sortir de merveilleux jeux sur lequel on aurait pu continuer de rêver comme au temps des jeux 2d. Et bien non, cela n'as pas été le cas, bien au contraire. Les jeux 3d coûtes bien souvent moins chères pas parce que c'est plus facile de les faire (ho non) mais parce qu'il est plus simple de se servir d'un moteur déjà créé et de réaliser un jeu presque similaire à un autre, d'où la prolification de doom-like et j'en passe. Les sociétés de jeux francophone pour la majorité, n'ont pas voulus suivre ce mouvement dès le début afin de préserver la french touch, donc la qualité avant tout (bon sang que c'était une bonne idée), hélas, la politique de l'argent à eu le dessus (encore) et nous voici, nous pauvres joueurs (de bons goûts, pas les autres) frustrés devant des rayonnages comportant 80% de produits complètement dépourvut d'intérêt et devont assister à la disparition de ce que fut l'escence même des premières années du monde vidéo ludique, le talent et la recherche de l'amusement. Car qui maintenant à encore envie de débourser au moins 60 euro pour un jeu qui se fini après deux heure (et encore) et que l'on a presque pas envie de relancer, pas moi en tout cas.

    il n'y a pas que les boites françaises qui vont mal, c tout le marché qui pue un peu ces dernières années, suffit de voir les jeux qui ont la cote au japon ( rpg drague, tous les trucs bidon ) en europe et aux states c doom like sur doom like et 3d à tout va, des suites de suites, je crois que ce marché va finir par s'etouffer si on y apporte pas un peu de fraicheur, à propos est ce que l'editeur "ocean" etait une boite française? il y avait aussi titus.

    c arrivé aussi à sega, qui l'eu cru?
    http://planetemu.net/php/articles/files/image/Kimuji/planetbar(1).gif

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      [quote author=Neiluj link=board=32;threadid=3166;start=0#msg41401 date=1049872310]
      il n'y a pas que les boites françaises qui vont mal, c tout le marché qui pue un peu ces dernières années, suffit de voir les jeux qui ont la cote au japon ( rpg drague, tous les trucs bidon )
      [/quote]

      je te rassure ça fait depuis bien bien longtemps que c'est comme ça donc ça n'as pas grand chose a voir avec l'état actuel du marché
      http://www.ifrance.com/the-duke-site/simplelife.jpg

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        Dix propositions pour sauver l'industrie du jeu vidéo en France

        Reconnaissance d'un statut spécifique, aides au financement de projets et formation sont les principaux axes des propositions présentées par les industriels de la production de jeu vidéo au Premier ministre pour sauver ce qui reste du secteur.

        A l'occasion de la visite d'un studio de création de jeu vidéo fin 2002 (voir édition du 18 novembre 2002), le Premier ministre avait incité les acteurs du secteur à lui faire part d'une série de propositions afin d'assurer la survie de la création numérique ludique française. C'est chose faite. L'Apom (Association des producteurs d'œuvres multimédia), a remis à Matignon, fin mars, ses "10 propositions pour le développement durable de l’industrie des loisirs électroniques en France".

        "Ces propositions visent à favoriser les facilités de financement de la création originale (financement des pré-productions), à refondre les procédures d'aide à la recherche et développement, à inciter les éditeurs internationaux à travailler avec des studios français (diminution du risque via les fonds de co-production) et à faire reconnaître le jeu vidéo comme une industrie culturelle à part entière", précise Antoine Villette, Président de l'Apom, sur le site Web de l'association. Trois grands axes se dégagent donc de ces propositions : le statut des entreprises de jeu vidéo, leur financement et leur pérennité à travers la formation des nouvelles générations.

        Un statut spécifique à l'industrie

        Côté statuts, l'Apom demande que ses membres, et le secteur de la création ludique numérique en général, bénéficient de la "politique en faveur de l'innovation" établie par Nicole Fontaine, ministre déléguée à l´Industrie, et Claudie Haigneré, ministre déléguée à la Recherche et aux Nouvelles Technologies. Cette politique prévoit notamment un cadre fiscal favorable aux "entreprises innovantes". Une demande légitime et prématurée puisque le texte est en cours de consultation publique. Dans le même esprit, l'Apom suggère la création d'une commission mixte entre les représentants des salariés et le ministère du Travail afin de définir un statut spécifique aux travailleurs de l'industrie du jeu vidéo.

        Mais la reconnaissance ne suffira pas à sauver le secteur sans une vraie politique d'aide aux investissements. A commencer par l'éligibilité des entreprises de jeu vidéo aux fonds d'aides de l'Anvar (l'Agence française de l'innovation) et du RIAM (Recherche et Innovation en Audiovisuel et Multimédia) qui dépend du Centre national de la cinématographie (CNC). Ces aides publiques permettent souvent de pouvoir amorcer la réalisation d'un projet et, notamment, de favoriser les tours de table. En revanche, l'industrie, qui bénéficie du FAEM (Fonds d’Aide à l’Edition Multimédia) également sous contrôle du CNC, demande à porter son montant de 6 à 10 millions d'euros sur un an. Le FAEM bénéficie essentiellement aux créateurs (Web, multimédia, jeu vidéo...).

        Avance sur recettes

        Par ailleurs, l'Apom suggère la création d'un fonds d'avance de pré-production à la manière de l'avance sur recette pour les productions cinématographiques. Parmi plusieurs propositions, ce fonds pourrait être alimenté par une perception de la taxe sur la copie privée appliquée aux CD vierges notamment (voir édition du 22 décembre 2000). Encourager le partage du risque financier à travers des co-productions, internationales notamment, est une autre proposition de sources de financement. Ce partage du risque serait alors encouragé grâce aux aides régionales et locales qui rendraient les studios français plus compétitifs et, ainsi, plus attractifs pour les éditeurs. Enfin, l'Apom met en avant la nécessité de formation à travers la création d'une école nationale des médias interactifs et la découverte du jeu vidéo à travers l'organisation d'un festival européen annuel de la création vidéo ludique ouvert au grand public.

        Créée en février 2002, l'Apom regroupe 80 % des créateurs français de jeu vidéo à travers une trentaine de membres. On y retrouve des éditeurs/producteur comme Ubi Soft, des créateurs, notamment spécialisés en animations Flash comme Team Chman, mais aussi des éditeurs de solutions de création 3D comme Virtools. Selon le site OverGame, le Premier ministre pourrait donner sa réponse le 19 avril prochain, à l'occasion de la Gamers Assembly 4, qui se tiendra au Futuroscope de Poitiers.

        Source : Vunet.fr

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          il est bien loin le temps de l'amstrad et de l'atari st SNIF avec plein d'editeur et de super jeux :'(.
          http://nsa39.casimages.com/img/2018/01/08/180108113715911357.gif

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            hé ho logan
            comment cela ce fait que ton post ressemble a celui que j'aurais écris
            je suis a 100% d'accord
            je doit avouer que quand doom est parus j'ai été fou fou de ce jeux mais au bout d'une centaine de versions ben ce n'est plus du recuit mais du bruler pffff
            reprener quelque vieux émulateur et regarder le choix de programe que nous avions et du nombre de genre différent ???
            quand je voie les machines que nous possédons que se soit consolle ou ordinateur et arriver au programe que nous avons :-[
            le véritable probleme c'est que bien souvent il n'y a plus de variété et qu'on prend toujours les même jeux que l'on remet apres avoir ajouter quelque pixels
            cela a l'avantage de vouloir faire changer les ordi pour ravoir les même jeux (on se fout de qui ?)
            bien souvent quand on recevait les jeux on disait ho que ses beau comment ca va ou sont les touches, etc etc
            parce que il était tous bien différent et cela pour la bonne raison qu'il y avait bien des compagnie différente et même des programeur seul genre david crane
            la politique des boites actuel est de vendre sans prendre de risque et de revenir toujours sur les mêmes programes c'est cela le veritable problemes
            le nivellement par le bat ???
            et on en a ras le bols :-[
            la conclusion de mon coup de geule c'est que les petite compagnie disparese petit a petit et on va (si ce n'est déja fait) se retrouver avec quelque grosse boite qui imposera leur idée et leurs jeux
            pauvre informatique belle image mais plus rien dedans :'(
            enfin pas de probleme on vas pouvoir rejouer au bille
            - - Les bornes d'arcade sont l'essence même du jeu video - -
            - - M.A.M.E. leurs dignes représentants - -

            Je persiste à croire qu’un jeu se juge à son gameplay et non à ses graphismes.
            Bien que les vieux titres d’arcade disposaient d’un système de jeu simpliste.
            Pensé par une seule et même personne, ceux-ci ont su résister à l’épreuve du temps.

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              Tout ceci est à l'image de notre société :

              [quote author=Bigjeff link=board=32;threadid=2568;start=40#msg38632 date=1048774655]
              J'écris cet article car cette sensation de manque d'imagination se retrouve un peu partout. Je dirai plutôt un manque d'envie de chercher une idée originale. Il n'y a plus de création de ressource par création originale (l'exemple le plus frappant est dans le monde bancaire où pour créer des bénéfices ils ne font que des fusions).

              Je trouve que plus le temps avance plus se développe une léthargie ambiante qui ne dérange pas grand monde (je sais demain j'arrête de regarder Albator sur la 3 à 9h00).

              C'est peut-être juste une sensation mais qui est sinueuse pour en devenir persistante. Je ne sais pas ce que vous en pensez, si vous le ressentez à votre niveau mais n'ayons pas peur d'indiquer nos désirs, on ne sait pas peut-être qu'un futur créateur de jeu passera par là et exaucera notre voeu.

              [/quote]

              Heureusement l'idée géniale, celle qui créera un nouveau style de jeux ou un nouveau genre n'est pas fonction de l'argent ou de la taille de l'éditeur.
              L'idée géniale elle vient d'un ou plusieurs cerveaux qui ont envie d'aller jusqu'au bout.
              C'est justement cet esprit créatif existe en France, le seul problème est la gestion de la société qui complique tout.

              Sinon la 2D ou la 3D ne sont que des supports le problème vient que les éditeurs ne veulent pas se mouiller en prenant la solution de facilité qui n'est jamais la bonne (du moins pour mon expérience).

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                [quote author=Logan link=board=32;threadid=3166;start=0#msg41366 date=1049842575]
                Il est triste en effet de constater que cette écatombe à débuté avec la grande venue des cartes 3d, de nouvelles boites sont nées et ont noyées le marché de jeux presque souvent indigestes. [/quote]

                Ca s'appelle l'effet "SONY"

                Rigolez pas je le pense vraiment en plus !!!
                J'ai toujours rêvé d'un ordinateur qui soit aussi facile à utiliser qu'un téléphone.
                Mon rêve s'est réalisé: je ne sais plus comment utiliser mon téléphone (Bjarne Stroustrup, auteur du langage C++)

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