Il m’a fallu du temps pour prendre cette décision, mais rien ne servait de s’entêter.
J’ai le regret de vous annoncer que les Planétars, c’est fini.
J’ai décidé d’arrêter cette belle histoire qu’étaient les Planétars.
La décision n’a pas été aisée, vous vous en doutez, tant les Planétars ont été une extraordinaire aventure humaine dans ma vie. Mais je ne pouvais plus m’en occuper, faute de temps. Travailler sur Nils Jacket, pour vous proposer les meilleurs romans policiers dont vous êtes le héros, est une tâche de tous les instants. Et puis, l’entretien de mes nombreuses conquêtes féminines a pris des proportions dantesques depuis deux ans (c’est ça, de vouloir en séduire trop à la fois...). Bref, je n’ai plus le temps de m’en occuper.
Peut-être est-ce aussi un problème de motivation. Cela fait déjà six ans que je gère cette énorme machine et il est normal, après tant d’efforts, qu’un break soit nécessaire. Il faut toujours savoir prendre du recul.
Ce que je retiendrai de ces six cérémonies d’ores et déjà mythiques, ce sont des moments inoubliables, comme le Planétar qu’on m’avait caché en 2003, le coup de gueule de Tonio, la mauvaise foi de Shin, le record de Shenron, les harangues de Souille et, plus généralement, d’excellents moments partagés entre amis.
Je suis conscient que c’est une page qui se tourne, mais ainsi va la vie. J’espère que vous ne m’en voudrez pas trop. Mais il fallait bien qu’à un moment, je tirasse la sonnette d’alarme... Je vous remercie de votre compréhension.
Merci à tous, notamment à mon partenaire Zapier. Ainsi qu’à tous ceux qui ont fait des Planétars une légende du monde de l’émulation.
J’ai le regret de vous annoncer que les Planétars, c’est fini.
J’ai décidé d’arrêter cette belle histoire qu’étaient les Planétars.
La décision n’a pas été aisée, vous vous en doutez, tant les Planétars ont été une extraordinaire aventure humaine dans ma vie. Mais je ne pouvais plus m’en occuper, faute de temps. Travailler sur Nils Jacket, pour vous proposer les meilleurs romans policiers dont vous êtes le héros, est une tâche de tous les instants. Et puis, l’entretien de mes nombreuses conquêtes féminines a pris des proportions dantesques depuis deux ans (c’est ça, de vouloir en séduire trop à la fois...). Bref, je n’ai plus le temps de m’en occuper.
Peut-être est-ce aussi un problème de motivation. Cela fait déjà six ans que je gère cette énorme machine et il est normal, après tant d’efforts, qu’un break soit nécessaire. Il faut toujours savoir prendre du recul.
Ce que je retiendrai de ces six cérémonies d’ores et déjà mythiques, ce sont des moments inoubliables, comme le Planétar qu’on m’avait caché en 2003, le coup de gueule de Tonio, la mauvaise foi de Shin, le record de Shenron, les harangues de Souille et, plus généralement, d’excellents moments partagés entre amis.
Je suis conscient que c’est une page qui se tourne, mais ainsi va la vie. J’espère que vous ne m’en voudrez pas trop. Mais il fallait bien qu’à un moment, je tirasse la sonnette d’alarme... Je vous remercie de votre compréhension.
Merci à tous, notamment à mon partenaire Zapier. Ainsi qu’à tous ceux qui ont fait des Planétars une légende du monde de l’émulation.
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