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Le nouveau monde :
Il faut crever les yeux de Colin Farell
.
Malgré son ésthétique globalement très 'publicitaire' (essayez le nouveau shampoing machin aux extraits naturels de truc) "le nouveau monde" est souvent enchanteur, grâce à la sublime Q'Orianka Kilcher, dont la présence illumine simplement le film... Qui apporte une réponse à la question : "un acteur peut-il suffire à faire un film ?" je répondrais sans hésitation oui, subjugué que je fus face au charisme de la jeune actrice. Mais le dernier Malik répond aussi par l'affirmative à la question "un acteur peut-il suffire à démolir un film ?". La présence de Colin Farrel et de ses yeux d'épagneul suffisant à plomber une bonne grosse partie du métrage. Mis à part ces 2 "mentions spéciales" pour l'interprétation, nous avons simplement un blockbuster auteuriste, qui mérite pleinement l'adjectif mièvre : d'une grâce niaise.
Renaissance :
Film d'animation français très prometteur de par son esthétique particulière... auquel j'avoue ne pas trop avoir accroché ^^"
D'abord à cause de l'animation, trop irréguliere, alternant des mouvements extrêmement réalistes avec d'autres qu'on croirait issu d'une cinematique de jeu vidéo tournant sur Win95 ^^" (du point de vue des mouvements très statiques, bien entendu) . Sentiment qui est renforcé par un "chara-design" qui rappelle ces années-là ^^"
Ensuite le scénario, simplement banal et prévisible. La mise en scène aurait pu le sauver (on a jamais eu besoin d'un bon scénar pour faire un grand film), mais elle est globalement trop plate, avec une mention spéciale pour les scènes d'action asthmatiques et mal découpées (faut dire que l'animation n'aide pas toujours).
Enfin si le style graphique est accrocheur au début, ses constrastes sont malheureusement aggressifs sur la longue, et la froideur qui en découle ne colle pas avec le ton général du film, qui n'est ni assez profond ni assez original pour cadrer avec une telle stylisation formelle.
Bref un film de SF très ordinaire au final, dont le principal argument de vente (son style graphique) se révèle être le principal handicap. Mais pour conclure sur une note positive, je signalerai les décors parmi les plus beaux que j'ai vu dernièrement, certes souvent vides mais qui ont une élégance rare, qui cadre bien avec l'image que Avalon veut renvoyer de la société ^^
Le nouveau monde :
Il faut crever les yeux de Colin Farell
. Malgré son ésthétique globalement très 'publicitaire' (essayez le nouveau shampoing machin aux extraits naturels de truc) "le nouveau monde" est souvent enchanteur, grâce à la sublime Q'Orianka Kilcher, dont la présence illumine simplement le film... Qui apporte une réponse à la question : "un acteur peut-il suffire à faire un film ?" je répondrais sans hésitation oui, subjugué que je fus face au charisme de la jeune actrice. Mais le dernier Malik répond aussi par l'affirmative à la question "un acteur peut-il suffire à démolir un film ?". La présence de Colin Farrel et de ses yeux d'épagneul suffisant à plomber une bonne grosse partie du métrage. Mis à part ces 2 "mentions spéciales" pour l'interprétation, nous avons simplement un blockbuster auteuriste, qui mérite pleinement l'adjectif mièvre : d'une grâce niaise.
Renaissance :
Film d'animation français très prometteur de par son esthétique particulière... auquel j'avoue ne pas trop avoir accroché ^^"
D'abord à cause de l'animation, trop irréguliere, alternant des mouvements extrêmement réalistes avec d'autres qu'on croirait issu d'une cinematique de jeu vidéo tournant sur Win95 ^^" (du point de vue des mouvements très statiques, bien entendu) . Sentiment qui est renforcé par un "chara-design" qui rappelle ces années-là ^^"
Ensuite le scénario, simplement banal et prévisible. La mise en scène aurait pu le sauver (on a jamais eu besoin d'un bon scénar pour faire un grand film), mais elle est globalement trop plate, avec une mention spéciale pour les scènes d'action asthmatiques et mal découpées (faut dire que l'animation n'aide pas toujours).
Enfin si le style graphique est accrocheur au début, ses constrastes sont malheureusement aggressifs sur la longue, et la froideur qui en découle ne colle pas avec le ton général du film, qui n'est ni assez profond ni assez original pour cadrer avec une telle stylisation formelle.
Bref un film de SF très ordinaire au final, dont le principal argument de vente (son style graphique) se révèle être le principal handicap. Mais pour conclure sur une note positive, je signalerai les décors parmi les plus beaux que j'ai vu dernièrement, certes souvent vides mais qui ont une élégance rare, qui cadre bien avec l'image que Avalon veut renvoyer de la société ^^
bref j'ai été très agréablement surpris!
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j'adore les rélfexions à la con et la gueule de dujardin, genre "mais vous vous imaginez ce que ça fait déjà 1 million?' 
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