Moi je dis, à mort les bornes de derrière chez moi qui poussent du jour au lendemain rien que pour faire suer les honnêtes gens.
Derrière chez moi, on avait des places de parking gratuites. Un jour, des barrières sont apparues à l’entrée et à la sortie du parking et les places devinrent numérotés : l’heure de la place payante avait sonné ! Sauf que nous, à l’UFP, on dit non ! Des places payantes, oui, mais pas celles-là ! Nous refusons de payer des places qui ne protègent pas nos voitures par des petits murs, des petits toits et des petites portes bien fermées à clé. Aussi, moi et Puduc, mon fidèle poisson malodorant et pandouillant, nous décidâmes d’exprimer notre mécontentement en nous garant hors des places numérotées. Car il faut que le monde sache : les portes de mon bolide ne fermant plus suite à quelques ignobles actes de vandalisme, chaque nuit je crains que l’on intente à la vie de Puduc. Si Puduc est maltraité, enlevé ou égorgé, autant qu’il le soit sans que je paye tous les mois pour sa non-sécurité !

Puduc, mon poisson, mon copilote, mon ami...
Et là, quelques mois plus tard, en l’espace d’un jour, par traîtrise pendant qu’en honnête citoyen je travaillais, des bornes de derrière chez moi poussèrent tels d'abjects champignons cimentés, anéantissant tout espoir de protester passivement à l’égard de la plus honteuse des injustices. J’en ai marre de ce quartier de merde où l’on laisse des bornes de derrière chez moi mener à bien leur funeste dessein !

Reveillez-vous, voisins et voisines de France! Combien de temps allez-vous encore accepter de si sombres manigances habilement orchestrées par un gouvernement qui n’a qu’une idée en tête : nous faire payer plus en brandissant le spectre d’une sécurité de stationnement accrue par quelques places numérotées et de frêles barrières montantes…
Alors, si vous aussi vous avez des bornes de derrière chez vous qui poussent sur vos parkings, dans vos jardins ou dans vos toilettes, rejoignez sans plus tarder l’UFP, l'Union des forums qui puducuent. La machine contestataire est en route, et même le plus robuste des ciments ne saurait résister à notre rouleau compresseur revendicatif.
Derrière chez moi, on avait des places de parking gratuites. Un jour, des barrières sont apparues à l’entrée et à la sortie du parking et les places devinrent numérotés : l’heure de la place payante avait sonné ! Sauf que nous, à l’UFP, on dit non ! Des places payantes, oui, mais pas celles-là ! Nous refusons de payer des places qui ne protègent pas nos voitures par des petits murs, des petits toits et des petites portes bien fermées à clé. Aussi, moi et Puduc, mon fidèle poisson malodorant et pandouillant, nous décidâmes d’exprimer notre mécontentement en nous garant hors des places numérotées. Car il faut que le monde sache : les portes de mon bolide ne fermant plus suite à quelques ignobles actes de vandalisme, chaque nuit je crains que l’on intente à la vie de Puduc. Si Puduc est maltraité, enlevé ou égorgé, autant qu’il le soit sans que je paye tous les mois pour sa non-sécurité !

Puduc, mon poisson, mon copilote, mon ami...
Et là, quelques mois plus tard, en l’espace d’un jour, par traîtrise pendant qu’en honnête citoyen je travaillais, des bornes de derrière chez moi poussèrent tels d'abjects champignons cimentés, anéantissant tout espoir de protester passivement à l’égard de la plus honteuse des injustices. J’en ai marre de ce quartier de merde où l’on laisse des bornes de derrière chez moi mener à bien leur funeste dessein !

Reveillez-vous, voisins et voisines de France! Combien de temps allez-vous encore accepter de si sombres manigances habilement orchestrées par un gouvernement qui n’a qu’une idée en tête : nous faire payer plus en brandissant le spectre d’une sécurité de stationnement accrue par quelques places numérotées et de frêles barrières montantes…
Alors, si vous aussi vous avez des bornes de derrière chez vous qui poussent sur vos parkings, dans vos jardins ou dans vos toilettes, rejoignez sans plus tarder l’UFP, l'Union des forums qui puducuent. La machine contestataire est en route, et même le plus robuste des ciments ne saurait résister à notre rouleau compresseur revendicatif.

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