Et puis, Kobras au chant...
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Je viens de finir ...
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J'ai fini LocoRoco 2 à l'instant. Toujours aussi facile mais il y a beaucoup moins de niveaux que dans le premier. Dans le premier il y en avait 40 alors que la il n'y en a peut-être que la moitié.
C'est plus un 1.5 qu'un vrai 2 mais il me semble mieux fini. Il y a un vrai scénario et plus simplement une succession de stage, les stages sont bourrés de secrets et il y a aussi des petits jeux marrant (plus que dans le premier).
Dommage qu'il soit aussi court. Il me reste encore pas mal de choses à faire, trouver tous les locos, toutes les cartes, les tampons, les souvenirs, ... et puis il parait qu'il y a d'autres stages cachés.
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J'ai fini quelques jeux durant cette calme période étouffée entre noël, la St-Sylvestre et les épidémies de gastro sympathiques comme tout.
- Fallout 3 : J'en ai terminé la quête principale, mais ce n'est ni le plus intéressant, ni un haut fait particulièrement glorieux; en revanche, j'ai également terminé une bonne partie des quêtes secondaires et exploré pas mal d'endroits, et globalement je m'en sors extrêmement satisfait. C'est un bon jeu, une suite à Fallout 2 qui peut être largement décevante de part son scénario principal vaporeux, mais tout de même un pari réussi pour Bethesda qui sauve le navire et lui donne des ailes par la qualité des quêtes secondaires et par quelques moments d'anthologie, comme la marche de Liberty Prime. Personnellement, j'estime en avoir eu largement pour mon argent, d'autant qu'il est loin d'être exclu que je m'y recolle un de ces quatre.
- Zone of the Enders : Gameplay ultra nerveux, combats intenses, mais très répétitifs, qualité graphique impressionnante pour la date de sortie du jeu, en particulier au niveau des méchas et de leur animation, mais décors sans grande inspiration, scénario et personnages intéressants mais progression laborieuse et durée de vie minimaliste font de ce jeu, que je n'avais pas encore fait, un patchwork de qualités et de défauts non dénué d'intérêt, mais au final qui manque cruellement d'un petit quelque chose qui aurait pu en faire un très grand jeu...
- Zone of the Enders 2 : on prend les mêmes et on recommence au détail près que le petit quelque chose qui manquait au premier a finalement été extirpé de sa substantifique moelle pour éclater dans le second : chaque niveau propose en effet des séquences de gameplay aux objectifs originaux et sans cesse changeant. Même si la base du gameplay reste plus ou moins la même que dans le premier (combats nerveux ultra rapides entre méchas), les situations sont ici vraiment bien trouvées et renouvellent sans cesse l'intérêt du jeu qui va en croissant tout au long du scénario qui, bien qu'enfin complet, est beaucoup beaucoup trop court... Ce jeu est tout de même excellent, et vaut franchement le coup d'être fait, malgré la durée de vie rachitique. A noter que le tout est réalisé par Hideo Kojima.
- Prince of Persia (le nouveau, sur 360) : Que dire sur cette nouvelle mouture de notre valeureux Prince de Perse? Et bien pas grand chose, au final. Alors oui, c'est extrêmement joli. Oui c'est superbement animé. Oui, le moindre mouvement dégouline de classe. Mais bon sang ce que l'on s'ennuie. En guise de monde ouvert, nous avons une belle succession de couloirs, dont les schémas se répètent ad nauseum. Et au final, on a un peu l'impression de jouer à un film intéractif ou à un jeu du type hugo délire, comme un ami me le faisait remarquer : un anneau, hop j'appuie sur B, des traces sur un mur, hop A, une plaque, vite vite Y. Le tout avec une fenêtre de tolérance pour le timing des appuis tellement large qu'il est presque impossible de se tromper. Si l'on y rajoute l'impossibilité de mourir et la relative facilité de l'ensemble une fois que l'on a intégré le côté automatique des actions, le soft se vide lentement mais sûrement de son intérêt apparent.
Ajoutons à cela la disparition des pièges, pourtant signature de la série (alors oui, évidemment des pièges qui découpent le prince en deux, ou sur lequel notre bonhomme va joyeusement s'empaler, ça aurait fait tâche dans cette ambiance édulcoré - grand public, le maitre mot chez ubisoft, dira-t-on), et des combats qui sont à la fois un retour aux sources (peu nombreux, uniquement des duels et basés sur l'échanges de parades, de contres et d'enchainements) et une source d'ennui profond (malgré une mise en scène classieuse et impressionnante, ils sont tout mous, manquent profondément de dynamisme dans le gameplay; on a l'impression de devoir presser les boutons au ralenti pour sortir les combos);
Finalement, le jeu ne brille que par ses personnages, les Corrompus en particulier, qui sont globalement tous charismatique et ont tous quelque chose d'intéressant à raconter, que ce soit par leurs actions, comme le Chasseur, presque muet, ou leurs mots, comme la Concubine, dont la perfidie ne fait que dévoiler la vérité. Dommage que les combats qui opposent le prince à ces ennemis soient globalement tous basés sur les mêmes schémas et que leur personnalité ne donnent pas plus lieu à quelques spécifités lors des affrontements.
On notera également un final plutôt audacieux, qui pourra être au choix enthousiasmant pour la suite et pour ce qu'il oblige le joueur à faire, ou bien extrêmement frustrant.
Bref, globalement, une nouvelle trilogie qui débute avec beaucoup moins d'intérêt que celle des Sables du Temps, et qui s'engouffre dans la lignée de tout ce que que réalise Ubisoft ces derniers, à l'image d'Assassin's Creed : des jeux esthétiquement extrêmement réussi, mais au contenu creux et manquant cruellement d'intérêt...Dernière modification par Tixu, 05 janvier 2009, 11h55.
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Rétrospectivement, Prince of Persia me fait apprécier Assassin's Creed. Plus de liberté, davantage de maturité et un souci du détail qui fait vibrer ma sensibilité d'historien. Des défauts certes, mais un produit, au final, bien plus abouti que ce Pop qui fait pschitt.
Note : Ubisoft donne peut-être dans le Pop art : édition sérielle de produits prêts à consommer, mais éphémères, jetables et sans réelle valeur ajoutée.
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Etant dans un total trip Contra en ce moment, je me suis (re) plongé dans cette série... Hier j'ai fini Contra et Super Contra ( merci MAME donc ) J'avais déjà fais le premier Probotector sur Nes à l'époque, la version arcade est vraiment sublime... et là ce matin je me suis fais le Contra Hardcops sur MD, que je n'avais jamais pu acquérir à l'époque, rare et cher ( 300 francs le jeu d'occaz... ) et ENORME SURPRISE, c'est une tuerie monumentale cet épisode !!!!!!!! Les boss sont déments, les stages carrément survoltés, les choix scénaristiques qui déterminent les stages tout simplement bien pensés, non franchement Konami savait exploiter la Megadrive à la perfection... Mais les boss merde ! Celui qui arrête le train, l'autre qui vient du fond du décor, le clone tout droit sorti de DBZ, les signes astrologiques, y'a même un robot Trevor Belmont avec son thème !!!! La folie !!! Non mais ce jeu se doit d'être réédité, c'est pas possible autrement... Moi qui plaçait l'épisode SFC sur un piedéstal, il vient d'être détrôner à l'instant même...
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Oui il y a plusieurs chemins possibles et plusieurs persos avec des arsenals différents ce qui donne une durée de vie sympa à cette version MD. J'ai possédé cette version à l'époque et j'avais vraiment beaucoup aimé, par contre je connais assez mal la série. J'ai un peu touché à l'autre très bonne mouture, la version Snes, et pas du tout aux autres.
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T'as essayé la version DS, Contra IV??
Pas mal du tout, mais hardcore de chez hardcore!! J'ai quasi pas avancé tellement c'est difficile!
Sinon, j'ai fini... Ma X360... Joli petit ROD hier soir, aprés 1 an de loyaux services!
La ressemblance n'existe pas:elle n'est qu'un cas particulier de la différence, celui où la différence tend vers O (C.Levy-Strauss)
Dans une autre vitrine, un gros homme avec un tablier de boucher égorgeait de petits enfants. C'était une vitrine de propagande pour l'assistance publique (B.Vian)
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Envoyé par Nickocko Voir le messageT'as essayé la version DS, Contra IV??
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