Racontez-nous comment vous avez connu les jeux, l'informatique, ordinateurs et autres consoles devenus désormais mythiques, du début jusqu'à maintenant. Les vôtres, ceux de vos amis, ceux de l'école etc. Je commence:
Mon parcours avec les sacs à puces commence en 1982/83 je crois, avec la console Videopac d'un copain de classe. Jeux en noir et blanc, limite "pongesque". Mais je n'avais jamais vu ça avant. Enfin si, dans les cafés où mon père travaillait, j'avais déjà goûté aux délices de Ms Pac Man ou Donkey Kong. Mais de là à avoir un truc équivalent chez soi, wow! Mon seul rapport "at home" avec les jeux vidéos à ce moment là était un Game & Swatch de Nintendo, le "Parachut".
La même année, le père de ma voisine d'étage s'offre un T-99 de Texas Instrument. Hop! squattage intégral pour jouer à Space Invaders et Parsec. Grands souvenirs!
1985, l'Amstrad 6128 débarque chez un copain. Resquattage! Quel acarien je faisais à cet époque... Mais Sorcery + le valait bien!
85/86, ma voisine, toujours elle, se retrouve avec un Apple II d'occasion, ordinateur déjà dépassé à l'époque, mais avec des tonnes de jeux dessus. Montezuma's Revenge, Conan, Suicide ou Sea Dragon resteront pour nous deux de grands moments. On jouait avec des pads à molette. Un avait pour mission de faire monter et descendre le personnage, l'autre de le faire avancer ou reculer... Toute une époque!
Ensuite, toujours chez des amis, je découvre le Spectrum, mais c'était assez merdique comme ordinateur (des jeux tenant sur K7 audio!!!) puis les MO5, encore plus foireux, de Thomson au collège, avec leurs touches en caoutchouc et les extensions de mémoire de 16Ko de la taille d'un rasoir électrique...
Noël 1988, j'avais demandé un appareil photo, on m'offre un Atari 520 ST, objet de luxe pour l'époque. Là, on passe aux choses sérieuses. Moi qui bavais encore devant l'Amstrad 6128 de mon pote, je deviens snob et me mets à cracher sur les 8bit. J'étais jeune, j'ai fait mon mea culpa ensuite. Mon ST me comblera pendant plusieurs années me procurant des souvenirs précieux qui me serviront quand je serai en phase terminale au sanatorium.
Il se passe plusieurs années sans que je touche au moindre ordinateur, à part les PCW 1512 de l'école. Les consoles me suffisaient à cette époque, avec une Sega Master System en 90, une Super Nintendo en 93 et une Game Boy en 94. J'ai tout arrêté et revendu juste après. Plus le temps, plus envie, j'avais vieilli.
En 1999, j'avais commencé à économiser des sous pour partir au Japon mais après un séjour d'une semaine à l'hôpital, mon voyage était à l'eau. J'investis donc les thunes dans un PC avec Internet. Je n'ai jamais regretté mon choix. Le Japon attendra. Il attend toujours d'ailleurs...
Mon parcours avec les sacs à puces commence en 1982/83 je crois, avec la console Videopac d'un copain de classe. Jeux en noir et blanc, limite "pongesque". Mais je n'avais jamais vu ça avant. Enfin si, dans les cafés où mon père travaillait, j'avais déjà goûté aux délices de Ms Pac Man ou Donkey Kong. Mais de là à avoir un truc équivalent chez soi, wow! Mon seul rapport "at home" avec les jeux vidéos à ce moment là était un Game & Swatch de Nintendo, le "Parachut".
La même année, le père de ma voisine d'étage s'offre un T-99 de Texas Instrument. Hop! squattage intégral pour jouer à Space Invaders et Parsec. Grands souvenirs!
1985, l'Amstrad 6128 débarque chez un copain. Resquattage! Quel acarien je faisais à cet époque... Mais Sorcery + le valait bien!
85/86, ma voisine, toujours elle, se retrouve avec un Apple II d'occasion, ordinateur déjà dépassé à l'époque, mais avec des tonnes de jeux dessus. Montezuma's Revenge, Conan, Suicide ou Sea Dragon resteront pour nous deux de grands moments. On jouait avec des pads à molette. Un avait pour mission de faire monter et descendre le personnage, l'autre de le faire avancer ou reculer... Toute une époque!
Ensuite, toujours chez des amis, je découvre le Spectrum, mais c'était assez merdique comme ordinateur (des jeux tenant sur K7 audio!!!) puis les MO5, encore plus foireux, de Thomson au collège, avec leurs touches en caoutchouc et les extensions de mémoire de 16Ko de la taille d'un rasoir électrique...
Noël 1988, j'avais demandé un appareil photo, on m'offre un Atari 520 ST, objet de luxe pour l'époque. Là, on passe aux choses sérieuses. Moi qui bavais encore devant l'Amstrad 6128 de mon pote, je deviens snob et me mets à cracher sur les 8bit. J'étais jeune, j'ai fait mon mea culpa ensuite. Mon ST me comblera pendant plusieurs années me procurant des souvenirs précieux qui me serviront quand je serai en phase terminale au sanatorium.
Il se passe plusieurs années sans que je touche au moindre ordinateur, à part les PCW 1512 de l'école. Les consoles me suffisaient à cette époque, avec une Sega Master System en 90, une Super Nintendo en 93 et une Game Boy en 94. J'ai tout arrêté et revendu juste après. Plus le temps, plus envie, j'avais vieilli.
En 1999, j'avais commencé à économiser des sous pour partir au Japon mais après un séjour d'une semaine à l'hôpital, mon voyage était à l'eau. J'investis donc les thunes dans un PC avec Internet. Je n'ai jamais regretté mon choix. Le Japon attendra. Il attend toujours d'ailleurs...
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