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Le mythe du héros a toujours fasciné l’humanité depuis l’aube des temps. Les Jeux Olympiques des temps anciens n’étaient rien d’autre que la glorification de vertus rares telles que le courage, la force, la puissance, la beauté. Les BD américaines, les comics, ont toujours porté aux nues ces surhommes. De Superman en passant par Batman, Spider-man, les X-Men etc. Beaucoup d’Américains pensent qu’ils existent vraiment et sautent de buildings en buildings dans leurs collants bariolés. Tout le monde les connaît et cela se décline sur tout ce qui peut être vendu. Les jeux vidéos ne sont pas en reste bien évidemment. La SMS eut droit à son lot de vengeurs masqués, avec plus ou moins de réussite. Découvrons-les ensemble.
SPIDER-MAN VS THE KINGPIN (1991)
Ahhhh, Spider-Man… L’anti-héros parfait. Doté des pouvoirs d’un demi-dieu, c’est pourtant un loser fini. Les films de Sam Raimi ont parfaitement respecté le comics et c’est ce côté humain, cette facilité à s’identifier à lui avec ses problèmes et ses angoisses existentielles, qui ont fait que les lecteurs ont toujours préféré Spider-Man à Superman.
Spider-Man VS The Kingpin marquait le début des super-héros sur la SMS. L’histoire est simple. Spidey est accusé par le Caïd d’avoir posé une bombe pour faire sauter New York. Notre tête de toile doit laver son nom et retrouver en moins de 24h cinq clés afin de désamorcer cette bombe. Pour cela, il devra combattre ses plus puissants ennemis et ils sont tous là : Dr. Octopus, le Lézard, Electro, L’homme-Sable, le Super-Bouffon et Venom ! Vous allez en baver !
Ici, plus que de simples combats mais de l’interactivité. A chaque fois que vous le pourrez, prenez des photos des boss et du reste de la bande afin de les vendre au Quotidien pour prouver que vous n'y êtes pour rien et aussi financer vos consommations de toiles. Il y a toute une histoire racontée à l’aide d’écrans très bien fignolés, désactivables au besoin. Notons la présence du Dr. Strange pour vous aider un peu quand même. L’ami Stephen ne sera pas de trop…
Le jeu est une véritable petite merveille de maniabilité. Spidey lance ses jets de toiles et se balance sur son fil, grimpe au mur et donne des coups de lattes le tout dans une rapidité exemplaire. Les décors sont très travaillés à chaque niveau, le troisième, celui de la centrale électrique est superbe, et tout le jeu a ce petit côté graphique sixties qui marqua tant Spider-Man grâce à son dessinateur phare John Romita.
La difficulté est dosable dès le début et en mode « nightmare », il faut à la fois lutter contre les blessures mais aussi le temps qui s’écoule. Heureusement, il existe des astuces pour se refaire une santé dans certains niveaux.
Beaucoup de variété, d’énigmes à résoudre (la centrale électrique vous donnera du fil à retordre !), de petites choses cachées à découvrir, une énorme jouabilité, font de Spider-Man VS The Kingpin un titre au-dessus du panier dans la catégorie des jeux de plate-formes sur SMS.
SPIDER-MAN - RETURN OF THE SINISTER SIX (1992)
Le premier opus ayant tellement bien marché que, forcément, une suite arriva. Les Sinister Six sont un conglomérat d’ennemis de Spidey. Quand on est un loser tout seul, on espère gagner à plusieurs… Abondance de bien ne nuît pas et se fritter à six des plus puissants ennemis de l'Araignée (Mysterio, Electro, L'homme-Sable, le Super-Bouffon, le Vautour et le Dr. Octopus) ça promettait encore de longues heures de jeu. Malheureusement, le jeu ne provient pas du même programmeur que le premier Spider-man sur SMS et cela se sent de suite.
Sur le plan des graphismes d'abord. Spidey est devenu une sorte de nain mafflu en collant rouge et bleu. Il était longiligne dans le premier épisode, là, il s'est laissé aller sur les chips au porc !... Les décors sont moches, sombres, simplistes, ringards même, vraiment pas à la hauteur du premier jeu. Ensuite, vient l'animation. Il saute mal, on contrôle rien, les coups donnés aux ennemis sont presque aléatoires... Déclencher sa toile est un calvaire. Tout cela est rapidement énervant.
Pour le reste, jeu de plate-forme banal et sans aucune interactivité comme le précédent. On accroche pas du tout à ce second volet des aventures de notre araignée préférée qui méritait bien mieux comme suite. Et quelle bande de débiles que ces Sinister Six ! Ils se groupent pour coincer Spidey et l'attaquent un par un...
X-MEN - MOJO WORLD (1996)
Les mutants avaient la cote sur Game Gear avec déjà deux jeux mais pas la Master System. Elle héritera quand même du troisième opus, uniquement sorti pour le marché brésilien vu que la console fit un véritable carton là-bas jusqu'à la fin des années 90.
Comme tous ces jeux estampillés Acclaim, seuls les personnages changent, le concept est le même. On a le choix suivant le niveau entre deux et cinq personnages, chacun ayant ses qualités et ses faiblesses. C'est avec le temps et l'apprentissage que l'on saura lequel va le mieux avec chaque niveau.
Les graphismes ne sont pas très beaux. C’est petit, cranté et assez peu respectueux du comics. Wolverine semble bossu, Malicia vole comme si elle était handicapée et le rayon optique de Cyclope est digne d'un pet. L'écran titre est d'une laideur repoussante, on se croirait sur Amstrad CPC !
L'animation est correcte, on peut s'amuser si on aime les jeux de labyrinthe mais pas plus. Un jeu pas vraiment à la hauteur de la console et encore moins du comics. Pour les fanas des mutants uniquement.
THE INCREDIBLE HULK (1994)
Un des derniers jeux à être sorti sur SMS. Encore une fois, c'est une collection d'ennemis personnels que Hulk devra affronter dans ce jeu produit par US Gold. le Rhino, Tyrannus, le Leader, L'homme-Absorbant etc.
Au premier abord, on est agréablement surpris par les graphismes. C'est détaillé, fourni. Le second niveau fait beaucoup penser au jeu Gods sur Atari/Amiga. Hulk se laisse bien diriger. Les puristes apprécieront l’animation du monstre lorsque celui-ci saute. C’est exactement comme dans la BD ! Toutefois, un peu plus de souplesse aurait été appréciable durant ces sauts car, vu que c'est un jeu de plate-formes pur et dur, la maniabilité doit être optimale.
Hulk est fidèle à lui-même, il met de grandes baffes à la Bud Spencer, attrape ses adversaires par le colbac, leur met des coups de boule et des mega uppercuts de la mort. Il casse des murs également. Une véritable entreprise de démolition à lui tout seul !
Attention à ne pas vous faire trop toucher car vous perdrez non seulement de l’énergie mais en plus, vous redeviendrez cette larve de Bruce Banner, et là, votre survie sera de courte durée bien qu'il ait pensé à cacher avant sa métamorphose un flingue dans son futal extensible... Notons également que certains passages ne sont accessibles que par lui, ça peut être utile.
Pas un grand jeu certes, et plutôt facile, mais on s'amuse quand même à manoeuvrer ce malabar demeuré et comme les graphismes sont très fins et l'animation correcte, on ne va pas cracher dessus. « O-ho-ho ! Gé-ant Vert ! »
BATMAN RETURNS (1992)
Profitant du regain d'intérêt pour l’homme chauve-souris au début des années 90 grâce aux films de Tim Burton, Sega décida elle aussi d’exploiter la licence en sortant un Batman pour sa SMS. Allait-on avoir un résultat aussi spectaculaire que le Batman sur NES ? Hélas non !
Pourtant, tout démarrait bien. Les graphismes sont très jolis et fins. L’atmosphère glauque, presque gothique de Batman, est très bien retranscrite. Gotham restera toujours une ville sombre et glacée. Les personnages sont immédiatement reconnaissables. Batman marche d’un pas désabusé, dans sa cape noire et Cat Woman reste la sublime garce bondissante que Michelle Pfeiffer a su incarner (le premier qui me parle de Halle Berry dans ce rôle, je le castre avec un dénoyauteur à olives !)
Deux chemins différents vous sont proposés à chaque niveau, ce qui augmente la durée de vie. La maniabilité du personnage sera son défaut principal. Pour se déplacer en hauteur et se balancer, Batman dispose de son grappin rappelant immédiatement le légendaire fouet de Castlevania. Hélas, les programmeurs n’ont pas su donner la même agilité à Batman qu’au dernier rejeton de la famille Belmont et notre homme chauve-souris a bien souvent du mal à s’agripper vu que son câble n’est pas bien long. C’est donc la chute mortelle.
Niveau souplesse aussi, notre mammifère volant n’est pas vraiment à la hauteur de sa réputation. Il est très raide et ne se retourne pas en plein saut, ce qui est fâcheux dans certaines situations. Les costards en caoutchouc, ça aide pas aussi...
De nombreux bonus parsèment chaque niveau afin d’améliorer votre bat-rang. Mais même avec le meilleur armement, ce n’est pas facile du tout. On note que presque tous les boss de fin n’ont aucun décor en guise de fond, histoire d’animer plus vite tout ça sans doute. Pourtant, la SMS n'est pas aussi minable que ça côté performances et il n’y avait vraiment pas besoin de faire ça vu que les ennemis ont à peu près la même taille que vous...
Le seul Batman disponible sur SMS (deux autres sont disponibles sur Game Gear), donc faute de grives, on mangera de la chauve-souris… Mais cela n’en fait pas un hit. Un tour en Batmobile n'aurait pas été de trop non plus. Un jeu qui aurait pu être bath ! (aha…)
Le mythe du héros a toujours fasciné l’humanité depuis l’aube des temps. Les Jeux Olympiques des temps anciens n’étaient rien d’autre que la glorification de vertus rares telles que le courage, la force, la puissance, la beauté. Les BD américaines, les comics, ont toujours porté aux nues ces surhommes. De Superman en passant par Batman, Spider-man, les X-Men etc. Beaucoup d’Américains pensent qu’ils existent vraiment et sautent de buildings en buildings dans leurs collants bariolés. Tout le monde les connaît et cela se décline sur tout ce qui peut être vendu. Les jeux vidéos ne sont pas en reste bien évidemment. La SMS eut droit à son lot de vengeurs masqués, avec plus ou moins de réussite. Découvrons-les ensemble.
SPIDER-MAN VS THE KINGPIN (1991)
Ahhhh, Spider-Man… L’anti-héros parfait. Doté des pouvoirs d’un demi-dieu, c’est pourtant un loser fini. Les films de Sam Raimi ont parfaitement respecté le comics et c’est ce côté humain, cette facilité à s’identifier à lui avec ses problèmes et ses angoisses existentielles, qui ont fait que les lecteurs ont toujours préféré Spider-Man à Superman.
Spider-Man VS The Kingpin marquait le début des super-héros sur la SMS. L’histoire est simple. Spidey est accusé par le Caïd d’avoir posé une bombe pour faire sauter New York. Notre tête de toile doit laver son nom et retrouver en moins de 24h cinq clés afin de désamorcer cette bombe. Pour cela, il devra combattre ses plus puissants ennemis et ils sont tous là : Dr. Octopus, le Lézard, Electro, L’homme-Sable, le Super-Bouffon et Venom ! Vous allez en baver !
Ici, plus que de simples combats mais de l’interactivité. A chaque fois que vous le pourrez, prenez des photos des boss et du reste de la bande afin de les vendre au Quotidien pour prouver que vous n'y êtes pour rien et aussi financer vos consommations de toiles. Il y a toute une histoire racontée à l’aide d’écrans très bien fignolés, désactivables au besoin. Notons la présence du Dr. Strange pour vous aider un peu quand même. L’ami Stephen ne sera pas de trop…
Le jeu est une véritable petite merveille de maniabilité. Spidey lance ses jets de toiles et se balance sur son fil, grimpe au mur et donne des coups de lattes le tout dans une rapidité exemplaire. Les décors sont très travaillés à chaque niveau, le troisième, celui de la centrale électrique est superbe, et tout le jeu a ce petit côté graphique sixties qui marqua tant Spider-Man grâce à son dessinateur phare John Romita.
La difficulté est dosable dès le début et en mode « nightmare », il faut à la fois lutter contre les blessures mais aussi le temps qui s’écoule. Heureusement, il existe des astuces pour se refaire une santé dans certains niveaux.
Beaucoup de variété, d’énigmes à résoudre (la centrale électrique vous donnera du fil à retordre !), de petites choses cachées à découvrir, une énorme jouabilité, font de Spider-Man VS The Kingpin un titre au-dessus du panier dans la catégorie des jeux de plate-formes sur SMS.
SPIDER-MAN - RETURN OF THE SINISTER SIX (1992)
Le premier opus ayant tellement bien marché que, forcément, une suite arriva. Les Sinister Six sont un conglomérat d’ennemis de Spidey. Quand on est un loser tout seul, on espère gagner à plusieurs… Abondance de bien ne nuît pas et se fritter à six des plus puissants ennemis de l'Araignée (Mysterio, Electro, L'homme-Sable, le Super-Bouffon, le Vautour et le Dr. Octopus) ça promettait encore de longues heures de jeu. Malheureusement, le jeu ne provient pas du même programmeur que le premier Spider-man sur SMS et cela se sent de suite.
Sur le plan des graphismes d'abord. Spidey est devenu une sorte de nain mafflu en collant rouge et bleu. Il était longiligne dans le premier épisode, là, il s'est laissé aller sur les chips au porc !... Les décors sont moches, sombres, simplistes, ringards même, vraiment pas à la hauteur du premier jeu. Ensuite, vient l'animation. Il saute mal, on contrôle rien, les coups donnés aux ennemis sont presque aléatoires... Déclencher sa toile est un calvaire. Tout cela est rapidement énervant.
Pour le reste, jeu de plate-forme banal et sans aucune interactivité comme le précédent. On accroche pas du tout à ce second volet des aventures de notre araignée préférée qui méritait bien mieux comme suite. Et quelle bande de débiles que ces Sinister Six ! Ils se groupent pour coincer Spidey et l'attaquent un par un...
X-MEN - MOJO WORLD (1996)
Les mutants avaient la cote sur Game Gear avec déjà deux jeux mais pas la Master System. Elle héritera quand même du troisième opus, uniquement sorti pour le marché brésilien vu que la console fit un véritable carton là-bas jusqu'à la fin des années 90.
Comme tous ces jeux estampillés Acclaim, seuls les personnages changent, le concept est le même. On a le choix suivant le niveau entre deux et cinq personnages, chacun ayant ses qualités et ses faiblesses. C'est avec le temps et l'apprentissage que l'on saura lequel va le mieux avec chaque niveau.
Les graphismes ne sont pas très beaux. C’est petit, cranté et assez peu respectueux du comics. Wolverine semble bossu, Malicia vole comme si elle était handicapée et le rayon optique de Cyclope est digne d'un pet. L'écran titre est d'une laideur repoussante, on se croirait sur Amstrad CPC !
L'animation est correcte, on peut s'amuser si on aime les jeux de labyrinthe mais pas plus. Un jeu pas vraiment à la hauteur de la console et encore moins du comics. Pour les fanas des mutants uniquement.
THE INCREDIBLE HULK (1994)
Un des derniers jeux à être sorti sur SMS. Encore une fois, c'est une collection d'ennemis personnels que Hulk devra affronter dans ce jeu produit par US Gold. le Rhino, Tyrannus, le Leader, L'homme-Absorbant etc.
Au premier abord, on est agréablement surpris par les graphismes. C'est détaillé, fourni. Le second niveau fait beaucoup penser au jeu Gods sur Atari/Amiga. Hulk se laisse bien diriger. Les puristes apprécieront l’animation du monstre lorsque celui-ci saute. C’est exactement comme dans la BD ! Toutefois, un peu plus de souplesse aurait été appréciable durant ces sauts car, vu que c'est un jeu de plate-formes pur et dur, la maniabilité doit être optimale.
Hulk est fidèle à lui-même, il met de grandes baffes à la Bud Spencer, attrape ses adversaires par le colbac, leur met des coups de boule et des mega uppercuts de la mort. Il casse des murs également. Une véritable entreprise de démolition à lui tout seul !
Attention à ne pas vous faire trop toucher car vous perdrez non seulement de l’énergie mais en plus, vous redeviendrez cette larve de Bruce Banner, et là, votre survie sera de courte durée bien qu'il ait pensé à cacher avant sa métamorphose un flingue dans son futal extensible... Notons également que certains passages ne sont accessibles que par lui, ça peut être utile.
Pas un grand jeu certes, et plutôt facile, mais on s'amuse quand même à manoeuvrer ce malabar demeuré et comme les graphismes sont très fins et l'animation correcte, on ne va pas cracher dessus. « O-ho-ho ! Gé-ant Vert ! »
BATMAN RETURNS (1992)
Profitant du regain d'intérêt pour l’homme chauve-souris au début des années 90 grâce aux films de Tim Burton, Sega décida elle aussi d’exploiter la licence en sortant un Batman pour sa SMS. Allait-on avoir un résultat aussi spectaculaire que le Batman sur NES ? Hélas non !
Pourtant, tout démarrait bien. Les graphismes sont très jolis et fins. L’atmosphère glauque, presque gothique de Batman, est très bien retranscrite. Gotham restera toujours une ville sombre et glacée. Les personnages sont immédiatement reconnaissables. Batman marche d’un pas désabusé, dans sa cape noire et Cat Woman reste la sublime garce bondissante que Michelle Pfeiffer a su incarner (le premier qui me parle de Halle Berry dans ce rôle, je le castre avec un dénoyauteur à olives !)
Deux chemins différents vous sont proposés à chaque niveau, ce qui augmente la durée de vie. La maniabilité du personnage sera son défaut principal. Pour se déplacer en hauteur et se balancer, Batman dispose de son grappin rappelant immédiatement le légendaire fouet de Castlevania. Hélas, les programmeurs n’ont pas su donner la même agilité à Batman qu’au dernier rejeton de la famille Belmont et notre homme chauve-souris a bien souvent du mal à s’agripper vu que son câble n’est pas bien long. C’est donc la chute mortelle.
Niveau souplesse aussi, notre mammifère volant n’est pas vraiment à la hauteur de sa réputation. Il est très raide et ne se retourne pas en plein saut, ce qui est fâcheux dans certaines situations. Les costards en caoutchouc, ça aide pas aussi...
De nombreux bonus parsèment chaque niveau afin d’améliorer votre bat-rang. Mais même avec le meilleur armement, ce n’est pas facile du tout. On note que presque tous les boss de fin n’ont aucun décor en guise de fond, histoire d’animer plus vite tout ça sans doute. Pourtant, la SMS n'est pas aussi minable que ça côté performances et il n’y avait vraiment pas besoin de faire ça vu que les ennemis ont à peu près la même taille que vous...
Le seul Batman disponible sur SMS (deux autres sont disponibles sur Game Gear), donc faute de grives, on mangera de la chauve-souris… Mais cela n’en fait pas un hit. Un tour en Batmobile n'aurait pas été de trop non plus. Un jeu qui aurait pu être bath ! (aha…)
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