Lien vers l'article complet sur Planetemu
NORTH & SOUTH
La BD franco-belge n’a jamais vraiment eu de chance niveau adaptation sur 8 et 16bits. Astérix, Tintin, Bob Morane… Ces titres eurent droit aux égards des jeux vidéos mais ce ne fut pas Byzance, loin de là. Les Tuniques Bleues peuvent se targuer d’avoir hérité d’un excellent jeu avec North & South.
Mi wargame mi jeu d’action, North & South nous entraîne en pleine guerre de sécession, lorsque les confédérés du nord affrontaient les esclavagistes du sud ; guerre qui donna naissance aux Etats-Unis tels qu’on les connaît. Choisissez votre camp camarade, et ensuite, à vous la victoire ou la défaite. Le jeu est très bien fait. Sur le plan de la stratégie, il vous faudra conquérir des territoires, tracer une ligne de chemin de fer, ne pas trop squatter dans les terres des Indiens ou des révolutionnaires Mexicains, prendre des forts ou attaquer le train adverse pour piquer les fonds, et surtout, se battre. Là-dessus, on se marre. Le canon se chargera de terrasser à distance, mais aussi de détruire les ponts, les cavaliers faucheront sabre au clair les mauvaises têtes et les soldats, avec leurs fusils à baïonnettes, finiront le travail. On contrôle tout en même temps, un vrai sport !
Un jeu très soigné sur le plan des graphismes, extrêmement respectueux de la BD de Lambil et Cauvin, des bruitages et musiques entièrement digitalisés, et une animation ultra rapide (probablement l’un des scrollings les plus speed qui soit sur ST pour les attaques des forts et du train !). Jouable seul ou à deux, avec les phases d’action ou juste en wargame (les batailles sont gagnées suivant le bon vouloir de la machine), de l’humour, tout est là pour que l’on s’amuse. Excellent !
SIM CITY
Qui aurait cru que ce jeu s’imposerait au début des années 90 ? Au milieu des shoot-them-up et autres jeux de baston, Sim City faisait figure d’OVNI. Et pourtant, ce fut l’un des cartons de l’Atari, tout comme Populous dans le même style, sorti à la même période.
Sim City vous propose de simuler la gestion d’une ville complète. On ne le croirait pas mais ce n’est pas rien. Construire des maisons pour que les gens puissent se loger, des usines pour qu’ils puissent travailler, mais pas trop sinon, ça pollue, des commerces, prendre les impôts, mais pas trop non plus sinon les gens gueulent et s’en vont, rénover les routes, choisir entre une centrale nucléaire ou à charbon pour l’électricité etc.
Joué au premier degré, Sim City se révèle très vite agaçant et l’on découvre le manque de reconnaissance des habitants, sans parler de ce besoin constant d’argent pour financer vos travaux et comme on ne peut pas tondre un œuf niveau taxes… Heureusement, il existe des codes pour se blinder en pognon et là, on s’amuse vraiment à bâtir des mégalopoles dignes de ce nom. Finalement, Sim City nous fait comprendre que c’est comme dans la vie : si on suit les règles établies du système, on n'y arrive pas et on est obligé de se débrouiller autrement, en sortant du système ! Dure réalité.
Si l’ennui s’installe, le jeu vous propose des scénarios livrés clé en main. Vous devrez vous occuper en un temps donné d’une ville déjà établie mais avec un gros problème, au choix des inondations, pollution, crime, un réacteur nucléaire qui a sauté, un tremblement de terre, Godzilla… A vous de tenter de résoudre ça.
Un jeu passionnant. C’était le temps où le mot « sim » voulait dire « intelligence », et non « no life » comme maintenant…
POPULOUS
J’ai hésité à mettre ce jeu ici mais bon, c’est un incontournable alors… Pourquoi j’ai hésité ? Tout simplement parce que je n’ai jamais rien compris à ce qu’il fallait faire dans Populous. Comme tout le monde, j’ai eu le jeu entre les mains à l’époque mais sans la doc, difficile de piger. J’ai beau avoir tâtonné au maximum, rien n’y fit et comme personne autour de moi n’avait compris non plus… Même avec le tutorial inclus, le jeu fut imbittable pour moi. Je dois être idiot sans doute...
Pour ceux qui ne le sauraient pas, Populous vous permet d’incarner Dieu ! Vous façonnez votre monde, votre peuple, vous attaquez ensuite les ennemis etc. Le jeu rencontra de suite un vif succès mondial. Des concours primés eurent lieu à l’époque entre joueurs, via modem parfois. L’engouement et le nombre de portages de Populous sur des tas de machines démontrent sa grande qualité et son intérêt, mais quand on a rien compris, difficile de le trouver excitant. Pour les connaisseurs.
SHANGHAI - REVENGE OF THE DRAGON
Le taipei, qui est le nom exact du mah jong en solitaire (le mah jong se joue uniquement à quatre), est un indispensable sur toute machine qui se respecte.
Activision avait sorti une première version de mah jong en 86 sur ST. Très basique, elle n’en était pas moins réussie, malgré le manque de relief qui était compensé par des lignes de couleurs autour des tuiles. En 91, Activision sortit une version améliorée ; améliorée ne veut pas dire meilleure…
Le jeu est un peu terne. La couleur ivoire des tuiles n’est pas très jolie, ça ne frappe pas bien la rétine. Le dragon en fond est lui aussi assez laid, on le croirait sorti des écuries Disney. Enfin, le jeu est assez lent. Valider une paire demande quelques secondes, vous avez le temps de compter jusqu’à trois. Pour les speedés, ça peut agacer. Et contrairement à la première version, lorsque le jeu est bloqué, le programme ne vous l’indique pas.
Pas un grand taipei mais tout à fait acceptable en complément avec le premier du nom.
DYNABLASTER
Dynablaster, vous connaissez ? Nan ? Bon alors vous connaissez sûrement Bomberman ? Ah ben voilà, vous voyez quand vous voulez ! Dynablaster est tout simplement le portage du fameux Bomberman sur Atari ! Et réalisé par Hudson Soft himself SVP !
On retrouve tout ce qui a fait le succès de ce jeu : le mode « round » classique et le fameux « battle royale », jouable jusqu’à cinq en même temps si vous le voulez, et si vous aviez l'adaptateur pour ça ! Les graphismes ne sont pas terribles, il faut bien le dire. Votre personnage ressemble à un obèse en combinaison de cosmonaute deux tailles trop petites pour lui… L’animation non plus n’est pas inoubliable, même si on fait ce qu’on veut avec.
On est assez loin d’une version Nec ou Super Nintendo, mais quand même. Une bouffée d’air nippon sur un ordinateur dominé par des Européens, ça ne se refuse pas !
LEMMINGS
Y’a-t-il une seule machine des années 90 qui n’a jamais vu les lemmings envahir leur processeur et leur ram ? Oui, la Neo-Geo évidemment mais bon, leurs fans ne sont pas humains… Le mot lemming est entré dans le langage courant pour désigner quelqu’un de particulièrement stupide. « Un Q.I. de lemming ! » entend-on souvent.
C’était la mode des jeux qui donnaient une meilleure impression de soi-même. Populous, Sim City et Lemmings étaient les incontournables du moment. Lemmings vous proposait de donner les moyens à un troupeau de créatures décérébrées d’atteindre un point nommé. Pour cela, elles étaient capables de pas mal de choses mais en essai limité : grimper, creuser, construire etc. Encore fallait-il trouver la bonne méthode à chaque niveau.
Un vrai casse-tête au bout d’une dizaine de niveaux et qui finit par agacer à un moment donné mais les codes permettent de reprendre plus tard. Un jeu qui prend toute sa saveur à plusieurs, quand chacun essaye de trouver une solution. Cultissime !
SUPER SKWEEK
Super Skweek reprend le principe du vieux jeu de Konami Amidar. Il faut « repeindre » toute une surface de jeu à votre couleur sans se faire choper par les ennemis. Avec Super Skweek, on largue le pinceau d’Amidar pour une bestiole poilue en y ajoutant un pseudo scénario ô combien recherché : de méchants vilains pas beaux ont enlevé des skweekettes ! Comme les Skweek mâles n'ont pas trop aimé leurs expériences gay, pensant compenser ce manque, il a fallu aller les délivrer… Fichue hétérosexualité !...
Loriciel mit les petits plats dans les grands avec cette suite du premier Skweek. Un grand soin fut apporté à sa réalisation. On notera le zoom (oui, un zoom, un vrai, sur ST !) au début du jeu lorsque vous sélectionnerez votre point de départ. Musiques et bruitages digitalisés, beaucoup d’options paramétrables avant et pendant le jeu, graphismes très colorés, des sauvegardes, des bonus stages… Super Skweek est très chiadé. Des tas de niveaux vous attendent, vous pourrez même commencer par celui que vous voulez et en cas de très grande lassitude, vous pourrez même construire vos propres tableaux grâce à un kit inclus.
Un jeu idiot sur le principe mais auquel on revient toujours et avec une telle réalisation, c’est toujours avec plaisir.
THE LIGHT CORRIDOR
Faire du neuf avec un casse-briques, c’est pas simple. The Light Corridor y arrive pourtant. On largue la vision classique pour un truc en 3D, un peu comme dans Weltris. Vous avancez dans un tunnel avec votre « raquette » transparente tout en faisant rebondir la boule. A ce propos, la boule est superbe car c’est une boule de flipper, argentée et brillante.
Plutôt bien réalisé, rapide et bénéficiant de bruitages digitalisés (merci Prince pour le « Nooo ! » que vous entendez lorsque vous loupez la boule), The Light Corridor énerve assez vite le type jouant avec un moignon sur la souris car c’est dur. Vraiment très dur ! Néanmoins, la réalisation est belle et mérite votre attention rien que pour ça.
A réserver uniquement aux pros de la souris et autre adorateurs de ce genre de casse-briques et ils sont nombreux.
NORTH & SOUTH
La BD franco-belge n’a jamais vraiment eu de chance niveau adaptation sur 8 et 16bits. Astérix, Tintin, Bob Morane… Ces titres eurent droit aux égards des jeux vidéos mais ce ne fut pas Byzance, loin de là. Les Tuniques Bleues peuvent se targuer d’avoir hérité d’un excellent jeu avec North & South.
Mi wargame mi jeu d’action, North & South nous entraîne en pleine guerre de sécession, lorsque les confédérés du nord affrontaient les esclavagistes du sud ; guerre qui donna naissance aux Etats-Unis tels qu’on les connaît. Choisissez votre camp camarade, et ensuite, à vous la victoire ou la défaite. Le jeu est très bien fait. Sur le plan de la stratégie, il vous faudra conquérir des territoires, tracer une ligne de chemin de fer, ne pas trop squatter dans les terres des Indiens ou des révolutionnaires Mexicains, prendre des forts ou attaquer le train adverse pour piquer les fonds, et surtout, se battre. Là-dessus, on se marre. Le canon se chargera de terrasser à distance, mais aussi de détruire les ponts, les cavaliers faucheront sabre au clair les mauvaises têtes et les soldats, avec leurs fusils à baïonnettes, finiront le travail. On contrôle tout en même temps, un vrai sport !
Un jeu très soigné sur le plan des graphismes, extrêmement respectueux de la BD de Lambil et Cauvin, des bruitages et musiques entièrement digitalisés, et une animation ultra rapide (probablement l’un des scrollings les plus speed qui soit sur ST pour les attaques des forts et du train !). Jouable seul ou à deux, avec les phases d’action ou juste en wargame (les batailles sont gagnées suivant le bon vouloir de la machine), de l’humour, tout est là pour que l’on s’amuse. Excellent !
SIM CITY
Qui aurait cru que ce jeu s’imposerait au début des années 90 ? Au milieu des shoot-them-up et autres jeux de baston, Sim City faisait figure d’OVNI. Et pourtant, ce fut l’un des cartons de l’Atari, tout comme Populous dans le même style, sorti à la même période.
Sim City vous propose de simuler la gestion d’une ville complète. On ne le croirait pas mais ce n’est pas rien. Construire des maisons pour que les gens puissent se loger, des usines pour qu’ils puissent travailler, mais pas trop sinon, ça pollue, des commerces, prendre les impôts, mais pas trop non plus sinon les gens gueulent et s’en vont, rénover les routes, choisir entre une centrale nucléaire ou à charbon pour l’électricité etc.
Joué au premier degré, Sim City se révèle très vite agaçant et l’on découvre le manque de reconnaissance des habitants, sans parler de ce besoin constant d’argent pour financer vos travaux et comme on ne peut pas tondre un œuf niveau taxes… Heureusement, il existe des codes pour se blinder en pognon et là, on s’amuse vraiment à bâtir des mégalopoles dignes de ce nom. Finalement, Sim City nous fait comprendre que c’est comme dans la vie : si on suit les règles établies du système, on n'y arrive pas et on est obligé de se débrouiller autrement, en sortant du système ! Dure réalité.
Si l’ennui s’installe, le jeu vous propose des scénarios livrés clé en main. Vous devrez vous occuper en un temps donné d’une ville déjà établie mais avec un gros problème, au choix des inondations, pollution, crime, un réacteur nucléaire qui a sauté, un tremblement de terre, Godzilla… A vous de tenter de résoudre ça.
Un jeu passionnant. C’était le temps où le mot « sim » voulait dire « intelligence », et non « no life » comme maintenant…
POPULOUS
J’ai hésité à mettre ce jeu ici mais bon, c’est un incontournable alors… Pourquoi j’ai hésité ? Tout simplement parce que je n’ai jamais rien compris à ce qu’il fallait faire dans Populous. Comme tout le monde, j’ai eu le jeu entre les mains à l’époque mais sans la doc, difficile de piger. J’ai beau avoir tâtonné au maximum, rien n’y fit et comme personne autour de moi n’avait compris non plus… Même avec le tutorial inclus, le jeu fut imbittable pour moi. Je dois être idiot sans doute...
Pour ceux qui ne le sauraient pas, Populous vous permet d’incarner Dieu ! Vous façonnez votre monde, votre peuple, vous attaquez ensuite les ennemis etc. Le jeu rencontra de suite un vif succès mondial. Des concours primés eurent lieu à l’époque entre joueurs, via modem parfois. L’engouement et le nombre de portages de Populous sur des tas de machines démontrent sa grande qualité et son intérêt, mais quand on a rien compris, difficile de le trouver excitant. Pour les connaisseurs.
SHANGHAI - REVENGE OF THE DRAGON
Le taipei, qui est le nom exact du mah jong en solitaire (le mah jong se joue uniquement à quatre), est un indispensable sur toute machine qui se respecte.
Activision avait sorti une première version de mah jong en 86 sur ST. Très basique, elle n’en était pas moins réussie, malgré le manque de relief qui était compensé par des lignes de couleurs autour des tuiles. En 91, Activision sortit une version améliorée ; améliorée ne veut pas dire meilleure…
Le jeu est un peu terne. La couleur ivoire des tuiles n’est pas très jolie, ça ne frappe pas bien la rétine. Le dragon en fond est lui aussi assez laid, on le croirait sorti des écuries Disney. Enfin, le jeu est assez lent. Valider une paire demande quelques secondes, vous avez le temps de compter jusqu’à trois. Pour les speedés, ça peut agacer. Et contrairement à la première version, lorsque le jeu est bloqué, le programme ne vous l’indique pas.
Pas un grand taipei mais tout à fait acceptable en complément avec le premier du nom.
DYNABLASTER
Dynablaster, vous connaissez ? Nan ? Bon alors vous connaissez sûrement Bomberman ? Ah ben voilà, vous voyez quand vous voulez ! Dynablaster est tout simplement le portage du fameux Bomberman sur Atari ! Et réalisé par Hudson Soft himself SVP !
On retrouve tout ce qui a fait le succès de ce jeu : le mode « round » classique et le fameux « battle royale », jouable jusqu’à cinq en même temps si vous le voulez, et si vous aviez l'adaptateur pour ça ! Les graphismes ne sont pas terribles, il faut bien le dire. Votre personnage ressemble à un obèse en combinaison de cosmonaute deux tailles trop petites pour lui… L’animation non plus n’est pas inoubliable, même si on fait ce qu’on veut avec.
On est assez loin d’une version Nec ou Super Nintendo, mais quand même. Une bouffée d’air nippon sur un ordinateur dominé par des Européens, ça ne se refuse pas !
LEMMINGS
Y’a-t-il une seule machine des années 90 qui n’a jamais vu les lemmings envahir leur processeur et leur ram ? Oui, la Neo-Geo évidemment mais bon, leurs fans ne sont pas humains… Le mot lemming est entré dans le langage courant pour désigner quelqu’un de particulièrement stupide. « Un Q.I. de lemming ! » entend-on souvent.
C’était la mode des jeux qui donnaient une meilleure impression de soi-même. Populous, Sim City et Lemmings étaient les incontournables du moment. Lemmings vous proposait de donner les moyens à un troupeau de créatures décérébrées d’atteindre un point nommé. Pour cela, elles étaient capables de pas mal de choses mais en essai limité : grimper, creuser, construire etc. Encore fallait-il trouver la bonne méthode à chaque niveau.
Un vrai casse-tête au bout d’une dizaine de niveaux et qui finit par agacer à un moment donné mais les codes permettent de reprendre plus tard. Un jeu qui prend toute sa saveur à plusieurs, quand chacun essaye de trouver une solution. Cultissime !
SUPER SKWEEK
Super Skweek reprend le principe du vieux jeu de Konami Amidar. Il faut « repeindre » toute une surface de jeu à votre couleur sans se faire choper par les ennemis. Avec Super Skweek, on largue le pinceau d’Amidar pour une bestiole poilue en y ajoutant un pseudo scénario ô combien recherché : de méchants vilains pas beaux ont enlevé des skweekettes ! Comme les Skweek mâles n'ont pas trop aimé leurs expériences gay, pensant compenser ce manque, il a fallu aller les délivrer… Fichue hétérosexualité !...
Loriciel mit les petits plats dans les grands avec cette suite du premier Skweek. Un grand soin fut apporté à sa réalisation. On notera le zoom (oui, un zoom, un vrai, sur ST !) au début du jeu lorsque vous sélectionnerez votre point de départ. Musiques et bruitages digitalisés, beaucoup d’options paramétrables avant et pendant le jeu, graphismes très colorés, des sauvegardes, des bonus stages… Super Skweek est très chiadé. Des tas de niveaux vous attendent, vous pourrez même commencer par celui que vous voulez et en cas de très grande lassitude, vous pourrez même construire vos propres tableaux grâce à un kit inclus.
Un jeu idiot sur le principe mais auquel on revient toujours et avec une telle réalisation, c’est toujours avec plaisir.
THE LIGHT CORRIDOR
Faire du neuf avec un casse-briques, c’est pas simple. The Light Corridor y arrive pourtant. On largue la vision classique pour un truc en 3D, un peu comme dans Weltris. Vous avancez dans un tunnel avec votre « raquette » transparente tout en faisant rebondir la boule. A ce propos, la boule est superbe car c’est une boule de flipper, argentée et brillante.
Plutôt bien réalisé, rapide et bénéficiant de bruitages digitalisés (merci Prince pour le « Nooo ! » que vous entendez lorsque vous loupez la boule), The Light Corridor énerve assez vite le type jouant avec un moignon sur la souris car c’est dur. Vraiment très dur ! Néanmoins, la réalisation est belle et mérite votre attention rien que pour ça.
A réserver uniquement aux pros de la souris et autre adorateurs de ce genre de casse-briques et ils sont nombreux.
Commentaire