Tout à l'heure, je me suis ressorti mon bon vieux Game Boy (+ de 13 ans d'âge) et je me suis fait quelques parties. Après le traditionnel échauffement soviétique à base de tétrades, j'ai rejoué avec plaisir à l'une des softs que je considère comme jeux phares des la logithèque du Game Boy d'antan : Skate or Die - Bad'n Rad. Bien que portant le nom d'une célébrissime simulation sportive de planche à roulettes, ce jeu va beaucoup + loin dans le concept, et se meut en jeu d'action haletant.
Pour moi, c'est exactement le genre de jeu parfait pour le Game Boy : à la fois un challenge, mais avec un style d'action que l'on aime avoir toujours sur soi. On peut en faire une petite partie vite fait, juste pour le fun (=sans essayer de finir le jeu). D'autant + que l'ambiance qui se dégage du jeu y est propice : un aventurier skate-boardeur, quoi de + underground ? (surtout à l'époque)
Ravi de retrouver ces sensations, je me suis sorti mes vieux JFM fanzines pour en relire le test. Force fut de constater que ma revue de l'époque n'était vraiment pas terrible. J'ai donc eu envie de réécrire un test de ce jeu. Sur ce nouveau support qu'est le forum tests de Planet. Accrochez-vous au skate, j'enlève la rampe !
Skate or Die, testé dans le JFM fanzine n°16, janvier 1992.
(texte complètement réécrit, seules les notes ont été gardées par rapport au test original)
SKATE OR DIE
Elrad le Cruel fait régner la terreur sur la ville avec son gang de vilains skateurs. Et comme il est jaloux que vous soyez bien meilleur que lui sur la rampe, il kidnappe votre petite amie ! Le vil ! Ni une ni deux, vous sautez sur votre planche et roulez à toute blinde en direction de la cache secrète que tout le monde connaît d'Elrad.
Vous commencez dans les rues de la cité. Des chiens errants vous sautent à la gorge, des pneus vous roulent dessus pour vous faire choir de votre planche... évitez-les, ou bien sautez-leur dessus. Un coup de skate, ça calme ! Mais baissez-vous vite pour esquivez des pots de fleurs qui vous tombent dessus, ou pour rouler dans des corridors bas de plafonds, pernicieusement garnis de pics acérés. En bon rouli-planchiste, vous pouvez sauter sur le rebord des toits, dévaler des pentes raides et bondir par-dessus les trous. Attention, le repaire du boss de ce 1er niveau est gardé par un skateur lanceur de couteaux ; sautez pour que sa lame se plante dans votre skate (qui fera office de bouclier moderne), puis sautez-lui dessus pour l'assommer.
En pénétrant dans le repaire du boss, vous vous rendez compte qu'il s'agit d'un magasin de jouets mortel, garni de pics et dont les plates-formes s'effondrent. Le vilain s'avère être un skateur bouffon. Pléonasme, me direz-vous ? Que nenni, il s'agit bel et bien d'un vrai bouffon, avec son bonnet à clochettes et avec ses boules à jongler qu'il a la fâcheuse manie de vous lancer dessus. Faites usage de votre skate comme bouclier (par des sauts de skateur agile) pour contrer les boules et les renvoyer sur la tête du méchant.
Après un niveau purement plates-formes, en bonne 2D vue de profil qui se respecte, le jeu innove carrément en vous lançant dans un second niveau vu de dessus. On est sur un bord de mer, et il faut descendre jusqu'à la fin du niveau à toute vitesse. A gauche de l'écran, un mur, sur lequel il est possible de rouler quelques secondes, grâce à l'élan. A droite, les vagues qu'il faut éviter (à part s'appeler Jésus, c'est pas évident de faire du skate sur l'eau).
Il va vous falloir sauter par-dessus des murets ou des tonneaux qui vous roulent dessus, éviter la ligne de pêcheurs sournois qui ont remplacé l'hameçon par un grappin d'escalade), et essayer de ne pas s'empaler sur les pics qui garnissent les murs (ils ont un certain sens de l'urbanisme, dans le coin).
Pas de boss à la fin de ce niveau, mais une grande rampe de saut qu'il vaut mieux bien appréhender.
Retour à la vue de profil sur le 3ème niveau qui se déroule dans les égouts. Là, ça devient l'enfer, car les obstacles déboulent en force, mais vous êtes obligé de prendre de la vitesse pour les franchir. A vos réflexes !
Rats, ponts qui s'écroulent, serpents de mer qui surgissent des eaux saumâtres (à un moment, le seul moyen de passer est de leur rebondir successivement sur la tête), hommes-grenouilles armés de harpons... Je vous conseille toutefois de ralentir l'allure lorsque vous arriverez au passage des mines : une brusque montée des eaux viendra perfidement vous ralentir au moment de sauter par-dessus.
Une skateuse lanceuse de boomerangs garde le repaire du boss : la skateuse mutante des égouts. Pas très dure à vaincre s'il n'y avait pas ces satanés poissons qui surgissent pour vous cracher dessus.
Vue de dessus pour le 4ème niveau, qui se situe sur un chantier. Pleins de gros tubes de canalisation sont sur votre chemin ; si vous pensez bien à vous baisser sur votre planche, vous pourrez y entrer et rouler dedans.
Comme si cela n'allait pas assez vite, le boss du niveau surgit : c'est un rouleau-compresseur de la largeur de l'écran. Si vous n'allez pas assez vite ou vous mangez un obstacle, c'en est fini de vous. Dire que les autres sportifs ne se surpassent que pour la gloire ou l'argent. Quoi de mieux qu'un rouleau-compresseur qui vous poursuit pour battre des records de vitesse !
Toujours vue de dessus pour le 5ème niveau, qui est un nouveau grand moment. Nous nous trouvons sur une autoroute à la Mad Max : apocalyptique. Des rochers la jonchent, elle s'effondre par endroits, un vilain vautour fond sur vous pour vous prendre par les pieds... Attention, les virages sont très serrés et, comme l'autoroute ne trouve rien de mieux que d'être en bord de falaise, un virage manqué et c'est le grand plongeon.
Après un long tunnel dont les murs garnis de pontes se rapprochent, apparaît le boss du niveau : un hélicoptère. Celui que l'on peut voir sur la boîte du jeu. Il vous poursuit et tente de vous harponner avec sa lance rétractable. Pour le vaincre : esquiver ses attaques et attendre un tunnel pour que l'idiot aille s'exploser sur le fronton.
Les concepteurs du jeu ont poussé le sadisme jusqu'à vous obliger pour conclure le niveau à un petit numéro de funambule à skate sur une minuscule corde raide...
Le 6ème niveau est le niveau volcanique. Bassins de lave et geysers de feu au programme. Ce niveau est certainement le + riche en émotions fortes ! Les pentes à dévaler se succèdent, il y a des pics à toutes les parois, des ennemis en boule roulent derrière vous, et lesdites pentes débouchent bien entendu sur des bassins de lave au milieu desquels trône une minuscule plate-forme à ne pas louper - plate-forme qui s'effondre, bien sûr. Et il ne faut pas en sauter trop tôt, sous peine de s'empaler sur les stalagtites du plafond. C'est gai.
La fin du niveau est un puits qui donne sur le coeur du volcan, où le boss vous attend, un nouveau skateur dont je vous laisse découvrir les talents d'agilité.
Le dernier niveau reste en vue de profil. C'est la base secrère d'Elrad, un complexe technologique où vous n'aurez pas besoin de speeder -sauf peut-être pour éviter les tirs de mitrailleuses. En fait, on retrouve tout au long de ce niveau les fameuses rampes en "U" si chères au jeu Skate or Die 1er du nom, disponible sur Nes entre autres. Mais cette fois elles font partie du délire technologique, et elles se déplacent !
2 conseils :
- quand les plates-formes descendent, tenez-vous eu haut des rampes pour ne pas vous faire embrocher par les pics sortants du dessous
- et, comme ce niveau n'est pas linéaire, n'hésitez pas à aller en explorer les recoins. Des bonus sont à ramasser.
Elrad vous attend au bout du parcours, bien tranquillement assis sur son fauteuil volant, au-dessus d'une rampe en "U".
Niveau maniement de votre personnage, il vous faudra un petit temps d'adaptation, car un skateur est un peu + difficile à maîtriser qu'un Mario. Il faut tenir compte de la vitesse. Mais dès que l'on manie bien le jeu, rouler en skate est un véritable plaisir ! On se prend au jeu de la vitesse !
En outre, les programmeurs ont eu la bonne idée de consacrer le bouton B du paddle à l'action "se baisser", ce qui s'avère bien + pratique que s'il avait fallu tenter une hasardeuse "direction bas-droite".
Bad'n Rad fait partie de ces jeux à l'ancienne où, pour progresser, il faut découvrir le terrain pour en connaître les pièges. Ce qui suppose mourir plein de fois et avoir envie de jeter son Game Boy par la fenêtre. Mais les concepteurs ont eu l'excellente idée de mettre dès le début du jeu un "select stage" sur les 4 premiers niveaux. Autrement dit, vous pouvez commencer directement au niveau 4. Finalement, cela ne réduit pas vraiment la durée de vie du jeu, mais accentue au contraire cet aspect "une partie rapide juste pour le fun", puisque l'on peut s'essayer au niveau que l'on souhaite.
Même si niveau réalisation il n'est pas phénoménal, le jeu est vraiment rapide et pas prise de tête. Dès que l'on maîtrise le skate et que l'on a repéré les principaux pièges, vas-y roule Germaine ! ça fonce ! Le niveau de difficulté est progressif, il offre un bon challenge. Et surtout les niveaux sont si bien pensés, surtout ceux vus de dessus, que l'on a vraiment envie d'y rejouer. Un savant mélange de plates-formes et simulation sportive, de challenge et de non-prise de tête, le jeu idéal pour le Game Boy. Dire que Player One n'en a jamais fait la revue... Quelle honte !
JFM
En bref
Editeur : Palcom.
Style de jeu : simulation très sportive.
Nombre de joueurs : 1 joueur.
Graphismes : 70%
Son : 75%
Animation : 81%
Jouabilité : 81%
Durée de vie (avant de le finir) : 75%
Accrochage (le fait d'y rejouer) : 100%
Plaisir de jeu* : 100%
*note pour différencier mon avis subjectif de la note d'intérêt global + objective.
Intérêt global : 98% Super Hit
Pour moi, c'est exactement le genre de jeu parfait pour le Game Boy : à la fois un challenge, mais avec un style d'action que l'on aime avoir toujours sur soi. On peut en faire une petite partie vite fait, juste pour le fun (=sans essayer de finir le jeu). D'autant + que l'ambiance qui se dégage du jeu y est propice : un aventurier skate-boardeur, quoi de + underground ? (surtout à l'époque)
Ravi de retrouver ces sensations, je me suis sorti mes vieux JFM fanzines pour en relire le test. Force fut de constater que ma revue de l'époque n'était vraiment pas terrible. J'ai donc eu envie de réécrire un test de ce jeu. Sur ce nouveau support qu'est le forum tests de Planet. Accrochez-vous au skate, j'enlève la rampe !
Skate or Die, testé dans le JFM fanzine n°16, janvier 1992.
(texte complètement réécrit, seules les notes ont été gardées par rapport au test original)
SKATE OR DIE
Elrad le Cruel fait régner la terreur sur la ville avec son gang de vilains skateurs. Et comme il est jaloux que vous soyez bien meilleur que lui sur la rampe, il kidnappe votre petite amie ! Le vil ! Ni une ni deux, vous sautez sur votre planche et roulez à toute blinde en direction de la cache secrète que tout le monde connaît d'Elrad.
Vous commencez dans les rues de la cité. Des chiens errants vous sautent à la gorge, des pneus vous roulent dessus pour vous faire choir de votre planche... évitez-les, ou bien sautez-leur dessus. Un coup de skate, ça calme ! Mais baissez-vous vite pour esquivez des pots de fleurs qui vous tombent dessus, ou pour rouler dans des corridors bas de plafonds, pernicieusement garnis de pics acérés. En bon rouli-planchiste, vous pouvez sauter sur le rebord des toits, dévaler des pentes raides et bondir par-dessus les trous. Attention, le repaire du boss de ce 1er niveau est gardé par un skateur lanceur de couteaux ; sautez pour que sa lame se plante dans votre skate (qui fera office de bouclier moderne), puis sautez-lui dessus pour l'assommer.
En pénétrant dans le repaire du boss, vous vous rendez compte qu'il s'agit d'un magasin de jouets mortel, garni de pics et dont les plates-formes s'effondrent. Le vilain s'avère être un skateur bouffon. Pléonasme, me direz-vous ? Que nenni, il s'agit bel et bien d'un vrai bouffon, avec son bonnet à clochettes et avec ses boules à jongler qu'il a la fâcheuse manie de vous lancer dessus. Faites usage de votre skate comme bouclier (par des sauts de skateur agile) pour contrer les boules et les renvoyer sur la tête du méchant.
Après un niveau purement plates-formes, en bonne 2D vue de profil qui se respecte, le jeu innove carrément en vous lançant dans un second niveau vu de dessus. On est sur un bord de mer, et il faut descendre jusqu'à la fin du niveau à toute vitesse. A gauche de l'écran, un mur, sur lequel il est possible de rouler quelques secondes, grâce à l'élan. A droite, les vagues qu'il faut éviter (à part s'appeler Jésus, c'est pas évident de faire du skate sur l'eau).
Il va vous falloir sauter par-dessus des murets ou des tonneaux qui vous roulent dessus, éviter la ligne de pêcheurs sournois qui ont remplacé l'hameçon par un grappin d'escalade), et essayer de ne pas s'empaler sur les pics qui garnissent les murs (ils ont un certain sens de l'urbanisme, dans le coin).
Pas de boss à la fin de ce niveau, mais une grande rampe de saut qu'il vaut mieux bien appréhender.
Retour à la vue de profil sur le 3ème niveau qui se déroule dans les égouts. Là, ça devient l'enfer, car les obstacles déboulent en force, mais vous êtes obligé de prendre de la vitesse pour les franchir. A vos réflexes !
Rats, ponts qui s'écroulent, serpents de mer qui surgissent des eaux saumâtres (à un moment, le seul moyen de passer est de leur rebondir successivement sur la tête), hommes-grenouilles armés de harpons... Je vous conseille toutefois de ralentir l'allure lorsque vous arriverez au passage des mines : une brusque montée des eaux viendra perfidement vous ralentir au moment de sauter par-dessus.
Une skateuse lanceuse de boomerangs garde le repaire du boss : la skateuse mutante des égouts. Pas très dure à vaincre s'il n'y avait pas ces satanés poissons qui surgissent pour vous cracher dessus.
Vue de dessus pour le 4ème niveau, qui se situe sur un chantier. Pleins de gros tubes de canalisation sont sur votre chemin ; si vous pensez bien à vous baisser sur votre planche, vous pourrez y entrer et rouler dedans.
Comme si cela n'allait pas assez vite, le boss du niveau surgit : c'est un rouleau-compresseur de la largeur de l'écran. Si vous n'allez pas assez vite ou vous mangez un obstacle, c'en est fini de vous. Dire que les autres sportifs ne se surpassent que pour la gloire ou l'argent. Quoi de mieux qu'un rouleau-compresseur qui vous poursuit pour battre des records de vitesse !
Toujours vue de dessus pour le 5ème niveau, qui est un nouveau grand moment. Nous nous trouvons sur une autoroute à la Mad Max : apocalyptique. Des rochers la jonchent, elle s'effondre par endroits, un vilain vautour fond sur vous pour vous prendre par les pieds... Attention, les virages sont très serrés et, comme l'autoroute ne trouve rien de mieux que d'être en bord de falaise, un virage manqué et c'est le grand plongeon.
Après un long tunnel dont les murs garnis de pontes se rapprochent, apparaît le boss du niveau : un hélicoptère. Celui que l'on peut voir sur la boîte du jeu. Il vous poursuit et tente de vous harponner avec sa lance rétractable. Pour le vaincre : esquiver ses attaques et attendre un tunnel pour que l'idiot aille s'exploser sur le fronton.
Les concepteurs du jeu ont poussé le sadisme jusqu'à vous obliger pour conclure le niveau à un petit numéro de funambule à skate sur une minuscule corde raide...
Le 6ème niveau est le niveau volcanique. Bassins de lave et geysers de feu au programme. Ce niveau est certainement le + riche en émotions fortes ! Les pentes à dévaler se succèdent, il y a des pics à toutes les parois, des ennemis en boule roulent derrière vous, et lesdites pentes débouchent bien entendu sur des bassins de lave au milieu desquels trône une minuscule plate-forme à ne pas louper - plate-forme qui s'effondre, bien sûr. Et il ne faut pas en sauter trop tôt, sous peine de s'empaler sur les stalagtites du plafond. C'est gai.
La fin du niveau est un puits qui donne sur le coeur du volcan, où le boss vous attend, un nouveau skateur dont je vous laisse découvrir les talents d'agilité.
Le dernier niveau reste en vue de profil. C'est la base secrère d'Elrad, un complexe technologique où vous n'aurez pas besoin de speeder -sauf peut-être pour éviter les tirs de mitrailleuses. En fait, on retrouve tout au long de ce niveau les fameuses rampes en "U" si chères au jeu Skate or Die 1er du nom, disponible sur Nes entre autres. Mais cette fois elles font partie du délire technologique, et elles se déplacent !
2 conseils :
- quand les plates-formes descendent, tenez-vous eu haut des rampes pour ne pas vous faire embrocher par les pics sortants du dessous
- et, comme ce niveau n'est pas linéaire, n'hésitez pas à aller en explorer les recoins. Des bonus sont à ramasser.
Elrad vous attend au bout du parcours, bien tranquillement assis sur son fauteuil volant, au-dessus d'une rampe en "U".
Niveau maniement de votre personnage, il vous faudra un petit temps d'adaptation, car un skateur est un peu + difficile à maîtriser qu'un Mario. Il faut tenir compte de la vitesse. Mais dès que l'on manie bien le jeu, rouler en skate est un véritable plaisir ! On se prend au jeu de la vitesse !
En outre, les programmeurs ont eu la bonne idée de consacrer le bouton B du paddle à l'action "se baisser", ce qui s'avère bien + pratique que s'il avait fallu tenter une hasardeuse "direction bas-droite".
Bad'n Rad fait partie de ces jeux à l'ancienne où, pour progresser, il faut découvrir le terrain pour en connaître les pièges. Ce qui suppose mourir plein de fois et avoir envie de jeter son Game Boy par la fenêtre. Mais les concepteurs ont eu l'excellente idée de mettre dès le début du jeu un "select stage" sur les 4 premiers niveaux. Autrement dit, vous pouvez commencer directement au niveau 4. Finalement, cela ne réduit pas vraiment la durée de vie du jeu, mais accentue au contraire cet aspect "une partie rapide juste pour le fun", puisque l'on peut s'essayer au niveau que l'on souhaite.
Même si niveau réalisation il n'est pas phénoménal, le jeu est vraiment rapide et pas prise de tête. Dès que l'on maîtrise le skate et que l'on a repéré les principaux pièges, vas-y roule Germaine ! ça fonce ! Le niveau de difficulté est progressif, il offre un bon challenge. Et surtout les niveaux sont si bien pensés, surtout ceux vus de dessus, que l'on a vraiment envie d'y rejouer. Un savant mélange de plates-formes et simulation sportive, de challenge et de non-prise de tête, le jeu idéal pour le Game Boy. Dire que Player One n'en a jamais fait la revue... Quelle honte !
JFM
En bref
Editeur : Palcom.
Style de jeu : simulation très sportive.
Nombre de joueurs : 1 joueur.
Graphismes : 70%
Son : 75%
Animation : 81%
Jouabilité : 81%
Durée de vie (avant de le finir) : 75%
Accrochage (le fait d'y rejouer) : 100%
Plaisir de jeu* : 100%
*note pour différencier mon avis subjectif de la note d'intérêt global + objective.
Intérêt global : 98% Super Hit