Las, fatigué, épuisé. Les adjectifs ne manquent pas pour définir ma forme actuelle. Il faut dire qu'être le héros de Metal Gear Solid 3 n'est pas de tout repos, surtout lorsqu'on traverse une jungle entière en Russie pendant les années 60 pour finir à désamorcer un tank nucléaire des plus dangereux. La guerre froide, the cold war comme disent les américains c'est pas de la gnognote. Laissez moi un peu vous raconter.
Tactical, Espionnage, Action
Tout commence lorsque mon commandant, que j'apellerai Major Zero, me contacte pour une ultime mission. Cette fois ça déconne plus : 'faut que j'aille chercher dans une foutue jungle un scientifique nommé Stepanovich, afin d'éviter une nouvelle guerre mondiale. Ouais rien que ça. Et comme si ça suffisait pas, de la réussite de cette mission dépend l'avenir de la section Fox Hound, spécialisée dans les missions d'infiltrations. Résultat, je me retrouve à 6 h du mat' à 9000 mètres au dessus de la Russie pour effectuer le tout premier vol Halo du monde, près de 200 km/h dans une température de - 46. Y faut être dingue. Enfin faut dire que j'ai sacrément la classe quand même, tout est orchestré pour. Si on en faisait une cinématique pour jeu vidéo j'y donnerai 20/20 tiens. Enfin bref.
Snake Eater
Voila, je me retrouve dans la jungle, mon équipement (presque) en poche et c'est partis. La jungle, je sais pas si vous connaissez, mais ça a une ambiance particulière, ça oui. Entre les hautes herbes où se faufilent des serpents tous plus venimeux les uns que les autres, à tel point que ça vous glace le sang quand vous voyez des herbes bouger, oui encore des cris et chant d'oiseau qui deviennent inquiétants... On s'y croit comme dirait l'autre. Ah oui j'oubliais : non content de me balancer en pleine jungle, il faut que je me démerde avec mon couteau préféré et un pauvre pistoler tranquilisant. Bon c'est vrai que chasser la grenouille ou le crocodile pour manger c'est marrant mais bon. Enfin la jungle c'est comme un vrai supermarché, tout s'utilise : vous pouvez utiliser telles herbes comme anti-poison, telle branche pour vous faire une attelle, de la sève de tel végétal peut donner de la styptique... Après il faut les connaissances bien sur, mais j'avais quand même l'équipe derrière moi, qui me contactaient par radio. Tout ça pour dire que la survie en milieux hostile c'est quand même quelque chose !!
The Boss
En parlant d'équipe, faut dire que j'ai croisé du monde ! Et pas que des ptits bourgeois BCBG de la banlieue Moscovite, vous vous en doutez, non des gros cassos bien doués en guerre comme vous vous l'imaginez. Bon je me moque mais c'est qu'ils savaient aussi se mettre en scène les bougres. Et à chaque nouvelle rencontre tu peux y aller : nouveaux objectifs, nouvelles révélations : bordel accrus !! Enfin de nombreux mystéres se sont résolus au fur et à mesure de ma progression, mais il fallait s'accrocher ! Tout ces retournements de situations, mon coeur en pète encore une durite...
The Pain, The Fear, The End, The Fury, The Sorrow, The Joy
Enfin toujours est-il qu'avant d'arriver à le voir ce fameux monde, il fallait encore y arriver, traverser la jungle, des ponts suspendus, des ruines de laboratoires le tout infesté de soldats méchamment surarmés et entraînés comme des rambos. Heureusement j'avais mon kit du parfait petit camouflé avec moi, pour me faufiler partout !! Un milieu urbain plutôt sombre ? Hop une ptite couleur faciale en conséquence un équipement qui va bien je me plaque contre un mur et je passe quasi-inaperçus !! Et j'avais ma jauge de camouflage pour me le rappeler, mais que demandes le peuple ? Un radar peut être ? C'est vrai qu'on est dans les années 60, les radars c'est des pauvres détecteurs de mouvements guères lisibles et autres sonar très bruyants. Mais mon sens aigus de l'infiltration fait son boulot, et je suis encore là aujourd'hui. M'enfin ça change ! (mais de quoi ?).
Gear
Tiens, j'parlais des détecteurs, parlons un peu de mon équipement ! Si j'ai commencé avec que dalle, j'ai quand même finis avec au moins une dizaine d'arme différente !! Entre le lance-roquette, le sniper, la bonne grosse mitraillette lourde, y avait de quoi faire. Bon c'est vrai c'était une mission d'infiltration mais un peu de bourrinage faisait pas de mal ! Surtout contre les boss. Eux alors, fallait mettre le paquet ! Ces affrontements dantesques étaient vraiment géniaux pour le guerrier que je suis. Dommage qu'on ne m'ait pas filmé !
I am in manque of title
C'était quand même une putain d'aventure. Un peu courte c'est vrai, mais ça change pas des missions de chez Fox Hound hein ! Mais ne serait-ce que pour ce combat final qui restera dans les annales ou toutes ces révélations, ça valait le coup. Tiens j'me demande si on pourrait pas en faire un jeux vidéo, vous savez un peu comme Pong !
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Histoire : 18/20
Graphismes : 17/20
Jouabilité : 18/20
Ambiance : 20/20
Musique : 17/20
Note Finale : 18/20
Tactical, Espionnage, Action
Tout commence lorsque mon commandant, que j'apellerai Major Zero, me contacte pour une ultime mission. Cette fois ça déconne plus : 'faut que j'aille chercher dans une foutue jungle un scientifique nommé Stepanovich, afin d'éviter une nouvelle guerre mondiale. Ouais rien que ça. Et comme si ça suffisait pas, de la réussite de cette mission dépend l'avenir de la section Fox Hound, spécialisée dans les missions d'infiltrations. Résultat, je me retrouve à 6 h du mat' à 9000 mètres au dessus de la Russie pour effectuer le tout premier vol Halo du monde, près de 200 km/h dans une température de - 46. Y faut être dingue. Enfin faut dire que j'ai sacrément la classe quand même, tout est orchestré pour. Si on en faisait une cinématique pour jeu vidéo j'y donnerai 20/20 tiens. Enfin bref.
Snake Eater
Voila, je me retrouve dans la jungle, mon équipement (presque) en poche et c'est partis. La jungle, je sais pas si vous connaissez, mais ça a une ambiance particulière, ça oui. Entre les hautes herbes où se faufilent des serpents tous plus venimeux les uns que les autres, à tel point que ça vous glace le sang quand vous voyez des herbes bouger, oui encore des cris et chant d'oiseau qui deviennent inquiétants... On s'y croit comme dirait l'autre. Ah oui j'oubliais : non content de me balancer en pleine jungle, il faut que je me démerde avec mon couteau préféré et un pauvre pistoler tranquilisant. Bon c'est vrai que chasser la grenouille ou le crocodile pour manger c'est marrant mais bon. Enfin la jungle c'est comme un vrai supermarché, tout s'utilise : vous pouvez utiliser telles herbes comme anti-poison, telle branche pour vous faire une attelle, de la sève de tel végétal peut donner de la styptique... Après il faut les connaissances bien sur, mais j'avais quand même l'équipe derrière moi, qui me contactaient par radio. Tout ça pour dire que la survie en milieux hostile c'est quand même quelque chose !!
The Boss
En parlant d'équipe, faut dire que j'ai croisé du monde ! Et pas que des ptits bourgeois BCBG de la banlieue Moscovite, vous vous en doutez, non des gros cassos bien doués en guerre comme vous vous l'imaginez. Bon je me moque mais c'est qu'ils savaient aussi se mettre en scène les bougres. Et à chaque nouvelle rencontre tu peux y aller : nouveaux objectifs, nouvelles révélations : bordel accrus !! Enfin de nombreux mystéres se sont résolus au fur et à mesure de ma progression, mais il fallait s'accrocher ! Tout ces retournements de situations, mon coeur en pète encore une durite...
The Pain, The Fear, The End, The Fury, The Sorrow, The Joy
Enfin toujours est-il qu'avant d'arriver à le voir ce fameux monde, il fallait encore y arriver, traverser la jungle, des ponts suspendus, des ruines de laboratoires le tout infesté de soldats méchamment surarmés et entraînés comme des rambos. Heureusement j'avais mon kit du parfait petit camouflé avec moi, pour me faufiler partout !! Un milieu urbain plutôt sombre ? Hop une ptite couleur faciale en conséquence un équipement qui va bien je me plaque contre un mur et je passe quasi-inaperçus !! Et j'avais ma jauge de camouflage pour me le rappeler, mais que demandes le peuple ? Un radar peut être ? C'est vrai qu'on est dans les années 60, les radars c'est des pauvres détecteurs de mouvements guères lisibles et autres sonar très bruyants. Mais mon sens aigus de l'infiltration fait son boulot, et je suis encore là aujourd'hui. M'enfin ça change ! (mais de quoi ?).
Gear
Tiens, j'parlais des détecteurs, parlons un peu de mon équipement ! Si j'ai commencé avec que dalle, j'ai quand même finis avec au moins une dizaine d'arme différente !! Entre le lance-roquette, le sniper, la bonne grosse mitraillette lourde, y avait de quoi faire. Bon c'est vrai c'était une mission d'infiltration mais un peu de bourrinage faisait pas de mal ! Surtout contre les boss. Eux alors, fallait mettre le paquet ! Ces affrontements dantesques étaient vraiment géniaux pour le guerrier que je suis. Dommage qu'on ne m'ait pas filmé !
I am in manque of title
C'était quand même une putain d'aventure. Un peu courte c'est vrai, mais ça change pas des missions de chez Fox Hound hein ! Mais ne serait-ce que pour ce combat final qui restera dans les annales ou toutes ces révélations, ça valait le coup. Tiens j'me demande si on pourrait pas en faire un jeux vidéo, vous savez un peu comme Pong !
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Histoire : 18/20
Graphismes : 17/20
Jouabilité : 18/20
Ambiance : 20/20
Musique : 17/20
Note Finale : 18/20
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