Dernières séances au ciné, dans le complet désordre :
- Akira : Putain de bordel de merde, quelle intro ! Dommage que la seconde moitié du film soit clairement moins rythmée, il n'en reste pas moins un plaisir à revoir dans des conditions dignes de ce nom.
- Shin Kenjushi France Five, la rétrospective des quatre premiers, suivie du cinquième épisode. Et que de progrès depuis le premier épisode en 2000 ! Certes, on ressent toujours le côté amateur dans le jeu des acteurs, les décors et le nombre de figurants. Mais les nouveaux persos ont de la gueule, les chorés des combats sont bien foutus, et en terme de mise en scène, certains passages débordent de classe. Vivement que Nolife soit pétée de thunes, qu'Alex Pilot puisse à nouveau faire de la fiction en plus, parce que la qualité est vraiment là.
- Redline : Un anime de course futuriste, par le réalisateur de la partie animée de Kill Bill, dont le scénario tient sur un timbre poste, mais on s'en fout.
Perspectives improbables, bande-son joyeusement assourdissante, déformations incroyables, personnalités dérangées, epic love, j'avais rêvé d'un film qui réunisse tout ça, à la puissance maximale, 10 sur une échelle de 10. Takeshi Koike l'a fait.
Puis, quand la fin approche, il monte à 11.
J'insiste, mais Redline est un putain de fucking roller-coaster démesuré. Les taffiolles partiront vomir après dix minutes, mais les vrais, ceux qui ont des cojones, resteront jusqu'au bout. Pour en sortir épuisés, lessivés, mais avec le sourire jusqu'aux oreilles.
Si le passage en moto d'Akira est une référence en terme de représentation de la vitesse, Redline est maintenant LA référence quand on parle d'accélération.
En même temps, un film sur le Japon tourné uniquement avec des chinois
- Akira : Putain de bordel de merde, quelle intro ! Dommage que la seconde moitié du film soit clairement moins rythmée, il n'en reste pas moins un plaisir à revoir dans des conditions dignes de ce nom.
- Shin Kenjushi France Five, la rétrospective des quatre premiers, suivie du cinquième épisode. Et que de progrès depuis le premier épisode en 2000 ! Certes, on ressent toujours le côté amateur dans le jeu des acteurs, les décors et le nombre de figurants. Mais les nouveaux persos ont de la gueule, les chorés des combats sont bien foutus, et en terme de mise en scène, certains passages débordent de classe. Vivement que Nolife soit pétée de thunes, qu'Alex Pilot puisse à nouveau faire de la fiction en plus, parce que la qualité est vraiment là.
- Redline : Un anime de course futuriste, par le réalisateur de la partie animée de Kill Bill, dont le scénario tient sur un timbre poste, mais on s'en fout.
Perspectives improbables, bande-son joyeusement assourdissante, déformations incroyables, personnalités dérangées, epic love, j'avais rêvé d'un film qui réunisse tout ça, à la puissance maximale, 10 sur une échelle de 10. Takeshi Koike l'a fait.
Puis, quand la fin approche, il monte à 11.
J'insiste, mais Redline est un putain de fucking roller-coaster démesuré. Les taffiolles partiront vomir après dix minutes, mais les vrais, ceux qui ont des cojones, resteront jusqu'au bout. Pour en sortir épuisés, lessivés, mais avec le sourire jusqu'aux oreilles.
Si le passage en moto d'Akira est une référence en terme de représentation de la vitesse, Redline est maintenant LA référence quand on parle d'accélération.
Envoyé par Kobras
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