Chirurgien… Un métier qui demande précision, patiente, calme, maîtrise de soi… Bcp d’entre nous ont un jour rêvé de tenir un bistouri afin d’aller charcuter de la chair fraîche…Ah, elle est loin la bonne époque des dissections de souris et autres fœtus de porcs !
La DS, avec son écran tactile, a ouvert une nouvelle dimension ds le jeu vidéo. Rares encore sont les jeux qui en tirent complètement partie. Le plus souvent, l’écran tactile ne fait qu’office de gadget, de petit plus pour le confort de jeu. Mais, si l’on fait un tant soit peu attention, on peut dénicher qq perles de gameplay, et Trauma Center en fait partie.
Dr Maboul
Trauma Center nous met dans la peau d’un tout jeune chirurgien, un rien sur de lui, bien que sans expérience.
Armé de votre stylet, vous allez devoir l’aider a sauver des vies, tout en gagnant la confiance de son entourage.
TC est ce que l’on nomme communément un Drama. Le déroulement est très binaire : de longues scènes de dialogues faisant avancer le scenar (bien foutu au passage, digne d’un bon épisode d’Urgence ^^ ), entrecoupées d’interventions chirurgicales a gérer.
Et c’est là qu’intervient tout le génie d’Atlus : les commandes de jeu ne sont on ne peut plus simple ; armés de notre stylet, c’est a nous de faire sorte que le patient ne termine pas a la morgue.
De l’ouverture a la suture finale, toute l’intervention se gère graçe a ce petit bout de plastique. Pour se faire, 2 barres d’options, de part et d’autre de l’écran tactile, donnent accès a une petite 15aine d’ustensiles chirurgicaux : gel désinfectant (efficace pour éviter les procès ^^), bistouri, pince, seringue (avec entre autre adrénaline pour maintenir une pulsation cardiaque suffisante au bon déroulement de l’intervention, anti-inflammatoires…), laser, aspiration (pour les geste malhabiles qui font gicler un peu trop de sang), fil a suturer, sonde d’échographie…
Tous ont une utilité réelle, et tous doivent être utilisés dans un ordre précis pour aboutir au résultat final ds les meilleurs conditions (et donc engranger un max de point).
Alors au début, bien sur, cela demande un petit temps d’adaptation : le geste doit être et précis, et rapide (de nombreux facteurs demande une grande rapidité d’intervention :
Temps de la mission, constantes vitales, évolutivité de lésions…).
Aussi bien ds l’incision (des pointillés nous guident), dans la suture (pas facile a acquérir au début : faut faire des sortes de zigzags qui relient les 2 bords de la plaie), que ds le retrait de corps étranger (que l’on sélectionne avc la pince, que l’on retire ensuite du côté opposé au trajet d’entrée, et que l’on fait glisser jusque ds la coupelle prévu en bas a droite de l’écran tactile), tous les gestes demande une certaine habilité ds la maîtrise du stylet. Les 1eres missions devront être répétées un certain nombre de fois avant de pouvoir se permettre d’avancer ds le scenar.
M****, on s’est gourré de jambe !!
Le jeu se déroule donc en une succession d’interventions, le plus souvent chirurgicales.
Les toutes 1eres missions sont la pour nous familiarisé avec les commandes. Une infirmière nous dicte l’ordre d’utilisation des instruments suivant les circonstances (avant d’ouvrir, il faut désinfecter….). Puis elle nous indique quel est l’instrument adapté a la situation, et comment l’utiliser en fonction du contexte.
A la fin de chaque, mission, un décompte de point apparaît. Et la, avant d’atteindre le rank A, va falloir opéré !!! Chaque petite erreur compte : quel l’on oublie une étape de la procédure (cela n’est pas signalé…) ou que l’on coupe au lieu de piquer (la par contre, le patient en souffre, donc on le sait, et c’est plus cher en point). Et le temps restant a la fin de l’intervention complète le bilan. Bref, faut vraiment rapide, précis, et organisé (on n’a plus de réelles consignes dés la 4e mission : il faut donc connaître les séquence d’utilisation de chaque instrument pour ne rien oublier . On se prend, tel un vrai chir, à mémoriser l’intervention avant d’agir.)
Les missions sont vraiment variées : du retrait de bouts de verres d’un bras, a l’excision de tumeurs multiples ds l’intestin grêle, en passant par le massage cardiaque, la cure d’anévrisme, le drainage d’emboles vasculaires, on ne s’embête pas un instant.
Chaque mission est bien entendu parsemée de petits event qui viennent mettre un peu de punch dans tous ça : comme pour de vrai, les patients font vous embêtent jusqu’au bout !!!
A signaler qu’une petite surprise scénaristique vient apporter une petite touche stratégique aux interventions ! Appréciable !
Bref, le plaisir de jeu est intense, et la rejouabilité très importante. D’autant plus que l’on peut refaire ttes les missions indépendamment une fois débloquées. Idéal pour améliorer son efficacité et tenter de se rapprocher du Rank 1.
C’est moche un pancréas….
Techniquement, le jeu ne casse pas trois pattes a un canard : c’est joli, mais sobre. Les scènes scénaristiques se déroulent sous forme d’images fixes (comme ds Fire Emblem), avc un design Kawai.
Les interventions sont tout aussi sobres : un morceaux de chair modélisée en 3D, avec plein de petits effets tels des coupures, des débris, des vaisseaux… Ca bouge un peu, ca pulse, les lésions saignent… Rien d’exceptionnel.
Par contre, la sensibilité tactile est au poil : tout se joue au millimètre. Aussi bien les incisions, qui ne tolèrent aucun écart, a la capture a la pince d’emboles de qq pixels, va falloir avoir la main agile !
L’ambiance sonore est aussi dépouillée : qq thèmes principaux pdt le scenar, une musique lancinante, stressante lors des interventions, agrémentée d’interjection de notre charmante infirmière.
Bref, se n’est as sur les specs graphico-sonores que ce jeu tire son épingle de la botte de foin.
Patient stabilisé !
Bref, vous l’aurez compris, ce jeu est une merveille, tant au niveau de l’originalité, que de la façon avec laquelle il plonge le joueur dans la peau de son perso.
La DS, avec son écran tactile, a ouvert une nouvelle dimension ds le jeu vidéo. Rares encore sont les jeux qui en tirent complètement partie. Le plus souvent, l’écran tactile ne fait qu’office de gadget, de petit plus pour le confort de jeu. Mais, si l’on fait un tant soit peu attention, on peut dénicher qq perles de gameplay, et Trauma Center en fait partie.
Dr Maboul
Trauma Center nous met dans la peau d’un tout jeune chirurgien, un rien sur de lui, bien que sans expérience.
Armé de votre stylet, vous allez devoir l’aider a sauver des vies, tout en gagnant la confiance de son entourage.
TC est ce que l’on nomme communément un Drama. Le déroulement est très binaire : de longues scènes de dialogues faisant avancer le scenar (bien foutu au passage, digne d’un bon épisode d’Urgence ^^ ), entrecoupées d’interventions chirurgicales a gérer.
Et c’est là qu’intervient tout le génie d’Atlus : les commandes de jeu ne sont on ne peut plus simple ; armés de notre stylet, c’est a nous de faire sorte que le patient ne termine pas a la morgue.
De l’ouverture a la suture finale, toute l’intervention se gère graçe a ce petit bout de plastique. Pour se faire, 2 barres d’options, de part et d’autre de l’écran tactile, donnent accès a une petite 15aine d’ustensiles chirurgicaux : gel désinfectant (efficace pour éviter les procès ^^), bistouri, pince, seringue (avec entre autre adrénaline pour maintenir une pulsation cardiaque suffisante au bon déroulement de l’intervention, anti-inflammatoires…), laser, aspiration (pour les geste malhabiles qui font gicler un peu trop de sang), fil a suturer, sonde d’échographie…
Tous ont une utilité réelle, et tous doivent être utilisés dans un ordre précis pour aboutir au résultat final ds les meilleurs conditions (et donc engranger un max de point).
Alors au début, bien sur, cela demande un petit temps d’adaptation : le geste doit être et précis, et rapide (de nombreux facteurs demande une grande rapidité d’intervention :
Temps de la mission, constantes vitales, évolutivité de lésions…).
Aussi bien ds l’incision (des pointillés nous guident), dans la suture (pas facile a acquérir au début : faut faire des sortes de zigzags qui relient les 2 bords de la plaie), que ds le retrait de corps étranger (que l’on sélectionne avc la pince, que l’on retire ensuite du côté opposé au trajet d’entrée, et que l’on fait glisser jusque ds la coupelle prévu en bas a droite de l’écran tactile), tous les gestes demande une certaine habilité ds la maîtrise du stylet. Les 1eres missions devront être répétées un certain nombre de fois avant de pouvoir se permettre d’avancer ds le scenar.
M****, on s’est gourré de jambe !!
Le jeu se déroule donc en une succession d’interventions, le plus souvent chirurgicales.
Les toutes 1eres missions sont la pour nous familiarisé avec les commandes. Une infirmière nous dicte l’ordre d’utilisation des instruments suivant les circonstances (avant d’ouvrir, il faut désinfecter….). Puis elle nous indique quel est l’instrument adapté a la situation, et comment l’utiliser en fonction du contexte.
A la fin de chaque, mission, un décompte de point apparaît. Et la, avant d’atteindre le rank A, va falloir opéré !!! Chaque petite erreur compte : quel l’on oublie une étape de la procédure (cela n’est pas signalé…) ou que l’on coupe au lieu de piquer (la par contre, le patient en souffre, donc on le sait, et c’est plus cher en point). Et le temps restant a la fin de l’intervention complète le bilan. Bref, faut vraiment rapide, précis, et organisé (on n’a plus de réelles consignes dés la 4e mission : il faut donc connaître les séquence d’utilisation de chaque instrument pour ne rien oublier . On se prend, tel un vrai chir, à mémoriser l’intervention avant d’agir.)
Les missions sont vraiment variées : du retrait de bouts de verres d’un bras, a l’excision de tumeurs multiples ds l’intestin grêle, en passant par le massage cardiaque, la cure d’anévrisme, le drainage d’emboles vasculaires, on ne s’embête pas un instant.
Chaque mission est bien entendu parsemée de petits event qui viennent mettre un peu de punch dans tous ça : comme pour de vrai, les patients font vous embêtent jusqu’au bout !!!
A signaler qu’une petite surprise scénaristique vient apporter une petite touche stratégique aux interventions ! Appréciable !
Bref, le plaisir de jeu est intense, et la rejouabilité très importante. D’autant plus que l’on peut refaire ttes les missions indépendamment une fois débloquées. Idéal pour améliorer son efficacité et tenter de se rapprocher du Rank 1.
C’est moche un pancréas….
Techniquement, le jeu ne casse pas trois pattes a un canard : c’est joli, mais sobre. Les scènes scénaristiques se déroulent sous forme d’images fixes (comme ds Fire Emblem), avc un design Kawai.
Les interventions sont tout aussi sobres : un morceaux de chair modélisée en 3D, avec plein de petits effets tels des coupures, des débris, des vaisseaux… Ca bouge un peu, ca pulse, les lésions saignent… Rien d’exceptionnel.
Par contre, la sensibilité tactile est au poil : tout se joue au millimètre. Aussi bien les incisions, qui ne tolèrent aucun écart, a la capture a la pince d’emboles de qq pixels, va falloir avoir la main agile !
L’ambiance sonore est aussi dépouillée : qq thèmes principaux pdt le scenar, une musique lancinante, stressante lors des interventions, agrémentée d’interjection de notre charmante infirmière.
Bref, se n’est as sur les specs graphico-sonores que ce jeu tire son épingle de la botte de foin.
Patient stabilisé !
Bref, vous l’aurez compris, ce jeu est une merveille, tant au niveau de l’originalité, que de la façon avec laquelle il plonge le joueur dans la peau de son perso.
+ 2014 
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