Vers 11H12 je reçois un coup de fil de ma soeur m'indiquant que mon père est au stade terminal de la maladie...
On se rejoint tous les deux à l'hôpital le coeur bien lourd en se soutenant mutuellement avant d'entrer dans sa chambre.
Que dire si ce n'est que le coma dans lequel il a sombré quelques heures le week end dernier a laissé des séquelles.
Allongé dans son lit, ,le regard vide fixé au loin avec une perte du langage total , il respirait sous assistance...
Tenir sa main et se rendre compte que la chaleur vitale était absente.
Alors on a essayé de le stimuler en lui remémorant nos meilleurs souvenirs.
On ne voulait pas qu'il puisse lire notre tristesse dans nos yeux qui parfois se laissaient aller.
Au début il réagissait en nous serrant la main peut être en rapport à ce qu'on lui disait...
Le médecin faisait des aller retours avec les infirmières en donnant ses consignes pour apaiser la douleur par des doses de morphines.
On l'accompagne au fil des heures en lui évoquant tout l'amour que nous avons pour lui jusqu'à son dernier souffle pour qu'il puisse partir le coeur léger.
Vers 15H05 on nous demande d'apporter les habits et tout s'enchaine rapidement avec des papier à remplir et autres démarches à effectuer de notre coté.
Sa souffrance n'est plus et il pourra rejoindre mes grands parents dans ce lieu qui m'est inaccessible et veillera maintenant sur nous...
On se rejoint tous les deux à l'hôpital le coeur bien lourd en se soutenant mutuellement avant d'entrer dans sa chambre.
Que dire si ce n'est que le coma dans lequel il a sombré quelques heures le week end dernier a laissé des séquelles.
Allongé dans son lit, ,le regard vide fixé au loin avec une perte du langage total , il respirait sous assistance...
Tenir sa main et se rendre compte que la chaleur vitale était absente.
Alors on a essayé de le stimuler en lui remémorant nos meilleurs souvenirs.
On ne voulait pas qu'il puisse lire notre tristesse dans nos yeux qui parfois se laissaient aller.
Au début il réagissait en nous serrant la main peut être en rapport à ce qu'on lui disait...
Le médecin faisait des aller retours avec les infirmières en donnant ses consignes pour apaiser la douleur par des doses de morphines.
On l'accompagne au fil des heures en lui évoquant tout l'amour que nous avons pour lui jusqu'à son dernier souffle pour qu'il puisse partir le coeur léger.
Vers 15H05 on nous demande d'apporter les habits et tout s'enchaine rapidement avec des papier à remplir et autres démarches à effectuer de notre coté.
Sa souffrance n'est plus et il pourra rejoindre mes grands parents dans ce lieu qui m'est inaccessible et veillera maintenant sur nous...
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