PlanetShip Mission
Une fois de plus, notre monde est en danger. Provenant d’une lointaine galaxie sans nom, l’infâme Tonio et son armée de redoutables sbires débarquent sur Terre avec pour dessein d’asservir les humains. Alors que le terrible vaisseau de guerre de Tonio, le PlanetShip, s’apprête à détruire les grandes métropoles terriènes, les gouvernements humains décident en dernier recours d’envoyer au cœur même du vaisseau ennemi un parasite destructeur jusqu’alors jamais utilisé : Une Souille. A peine sorti du laboratoire à parasites, la Souille est catapulté vers le PlanetShip à l’aide d’une cuillère en bois et s’écrase contre la paroi HTML du vaisseau, l’aventure commence ici…
Seulement armée de son épée en carton, notre parasite Souille devra parcourir les sombres couloirs du PlanetShip truffés de pièges tordus et peuplés de créatures aussi sournoises les unes que les autres.
Souille fuyant face à MegaCursor et pris au piège par GobPopUp la gobeuse
Le principe du jeu est simple. Vous êtes le parasite et vous débutez votre quête sur la page d’accueil de PlanetShip. A partir de là, vous devrez trouver le lien-téléporteur-destructeur caché qui vous permettra de détruire cette page et de vous infiltrer plus en profondeur dans les sections du site et ainsi de suite jusqu’à l’anéantissement total de PlanetShip. Bien sur, de nombreuses créatures viendront se mettre en travers de votre route, protégeant ces fameux lien-téléporteur-destructeurs. En outre, lorsque vous aurez détruit une certaine quantité de pages, vous devrez faire face à un méga boss réveillé par le vacarme qui ne cherchera qu’une chose, écraser l’insignifiant petit parasite venu contrecarrer la diabolique entreprise de Tonio… Une fois les boss vaincus, un stage bonus est débloqué et vous permettra de faire vos preuves dans des environnements particuliers, comme un forum de discussion, un chan IRC ou encore un lien mort…
un stage bonus rempli de modérotators hargneux et le boss de fin: Le méchant Tonio
Techniquement, PlanetShip’Mission est une franche réussite. Le site dans lequel évolue notre parasite est superbement modélisé, chacune des pages proposant un éventail d’effets spéciaux tout simplement spectaculaires. On ne se lasse pas d’admirer les bordereaux publicitaires aux couleurs vives clignoter à tout va pendant que l’épée aux milles reflets de Souille pourfend les méchants planétiens. Cela dit, on pourra regretter une uniformité un peu trop prononcée de toutes les sections parcourues au fil du jeu. Soyons francs, que Souille se batte dans la section Amiga 500 ou dans la section MAME, c’est un peu pareil, on retrouve le même cadre si ce n’est le texte de fond. Mais quand même, quelque part, c’est différent, on le sent plus qu’on le voit. L’ambiance sonore est quant à elle franchement raté. En effet, les concepteurs ont cru bon d’associer à chacun des mouvements de Souille des interjections répétitives et pour le moins douteuses. Entendre Souille héler « Prends ça poil au doigt » à chaque coups d’épée ou encore « J’ai gagné poil au nez » à chaque ennemi vaincu est drôle au début, irritant après deux minutes de jeu. La jouabilité est quant à elle irréprochable ; Souille obéit au doigt et à l’œil à chaque pression du pad, et l’on se meut au travers du PlanetShip aussi facilement qu’une hirondelle dans une meule de foin. Une difficulté relativement bien dosée et une durée de vie d’une centaine d’heures parachèvent notre constat positif vis-à-vis de ce jeu hors du commun qui charmera à n’en pas douter tous les gamers rêvant un jour de devenir un parasite.
Une fois de plus, notre monde est en danger. Provenant d’une lointaine galaxie sans nom, l’infâme Tonio et son armée de redoutables sbires débarquent sur Terre avec pour dessein d’asservir les humains. Alors que le terrible vaisseau de guerre de Tonio, le PlanetShip, s’apprête à détruire les grandes métropoles terriènes, les gouvernements humains décident en dernier recours d’envoyer au cœur même du vaisseau ennemi un parasite destructeur jusqu’alors jamais utilisé : Une Souille. A peine sorti du laboratoire à parasites, la Souille est catapulté vers le PlanetShip à l’aide d’une cuillère en bois et s’écrase contre la paroi HTML du vaisseau, l’aventure commence ici…
Seulement armée de son épée en carton, notre parasite Souille devra parcourir les sombres couloirs du PlanetShip truffés de pièges tordus et peuplés de créatures aussi sournoises les unes que les autres.
Souille fuyant face à MegaCursor et pris au piège par GobPopUp la gobeuse
Le principe du jeu est simple. Vous êtes le parasite et vous débutez votre quête sur la page d’accueil de PlanetShip. A partir de là, vous devrez trouver le lien-téléporteur-destructeur caché qui vous permettra de détruire cette page et de vous infiltrer plus en profondeur dans les sections du site et ainsi de suite jusqu’à l’anéantissement total de PlanetShip. Bien sur, de nombreuses créatures viendront se mettre en travers de votre route, protégeant ces fameux lien-téléporteur-destructeurs. En outre, lorsque vous aurez détruit une certaine quantité de pages, vous devrez faire face à un méga boss réveillé par le vacarme qui ne cherchera qu’une chose, écraser l’insignifiant petit parasite venu contrecarrer la diabolique entreprise de Tonio… Une fois les boss vaincus, un stage bonus est débloqué et vous permettra de faire vos preuves dans des environnements particuliers, comme un forum de discussion, un chan IRC ou encore un lien mort…
un stage bonus rempli de modérotators hargneux et le boss de fin: Le méchant Tonio
Techniquement, PlanetShip’Mission est une franche réussite. Le site dans lequel évolue notre parasite est superbement modélisé, chacune des pages proposant un éventail d’effets spéciaux tout simplement spectaculaires. On ne se lasse pas d’admirer les bordereaux publicitaires aux couleurs vives clignoter à tout va pendant que l’épée aux milles reflets de Souille pourfend les méchants planétiens. Cela dit, on pourra regretter une uniformité un peu trop prononcée de toutes les sections parcourues au fil du jeu. Soyons francs, que Souille se batte dans la section Amiga 500 ou dans la section MAME, c’est un peu pareil, on retrouve le même cadre si ce n’est le texte de fond. Mais quand même, quelque part, c’est différent, on le sent plus qu’on le voit. L’ambiance sonore est quant à elle franchement raté. En effet, les concepteurs ont cru bon d’associer à chacun des mouvements de Souille des interjections répétitives et pour le moins douteuses. Entendre Souille héler « Prends ça poil au doigt » à chaque coups d’épée ou encore « J’ai gagné poil au nez » à chaque ennemi vaincu est drôle au début, irritant après deux minutes de jeu. La jouabilité est quant à elle irréprochable ; Souille obéit au doigt et à l’œil à chaque pression du pad, et l’on se meut au travers du PlanetShip aussi facilement qu’une hirondelle dans une meule de foin. Une difficulté relativement bien dosée et une durée de vie d’une centaine d’heures parachèvent notre constat positif vis-à-vis de ce jeu hors du commun qui charmera à n’en pas douter tous les gamers rêvant un jour de devenir un parasite.
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