En 2003, Le parasite Souille sauva l’humanité d’une annihilation totale en détruisant le vaisseau mère des envahisseurs planetiens : Le planetship.
Dans les jours qui suivirent la défaite des forces planetiennes, les quelques rescapés, voyant leurs meneurs tombés un à un sous les assauts du parasite envoyé par les humains, entreprirent de se retrancher dans une autre dimension, la shootième dimension. Accessible par le biais d’un téléchargeur de roms infernal, l’armée planetienne se répandit peu à peu dans tous les plus grands shoot’em up de l’émulation avec pour abominable dessein une fois de plus de conquérir la terre et d’éliminer le parasite Souille responsable de leur première débâcle. Des mois passèrent, les forces du mal se reconstituèrent et le processus d’invasion du monde réelle par une brèche émulatio-temporelle était amorcé. Le compte à rebours avait débuté. Dès qu’il fût informé par les gouvernements qu’il parasitait des sinistres nouveaux projets des planetiens, la Souille entreprit d’éviter l’invasion en attaquant l’ennemi sur leur propre terrain, en s’engouffrant lui-même dans la shootième dimension par le biais des mystérieux voyages anaux. L’attaque anale peut commencer !
Dans ce second opus, il n’est plus question d’épée en bois mais d’analship. Le beat’em all qui fit le succés de Planetship premier du nom laisse sa place au shoot’em up horizontal pur et dur. A bord d’un de ses trois analships, notre parasite dispose de tout un arsenal fécal pour venir à bout des sbires du mécano-Tonio ; monstrueux droïde renfermant le cerveau de l’ancien empereur des planetiens. L’équipe de Souille’Illusion déjà à l’origine du premier Planetship Mission propose ici un voyage à travers les plus grands Shoot’em up de l’histoire des jeux vidéos : Gradius, R-type, Last Resort etc.
Image 1: Détruisez les shin-boules pour liberer le slip bouclier !
Image 2: Des tas de bonus : ici le cassoulet prout-speed
Chaque niveau d’Anal Attack nous propulse dans un shoot’em up connu de tous les amateurs de salles de jeux des années 80. Les décors sont les mêmes au pixel près, mais la peste planetienne a bouleversé l’équilibre ludique de chacun de ces jeux cultes. Des tas de bonus inédits viennent ponctuer l’avancée de l’analship dans l’enfer de la dimension shootième; des conserves de cassoulet pour passer en mode prout-speed, des Delafon-warpzones pour accéder à des stages cachés ou encore des slips boucliers permettant à l’analship de devenir invincible. On appréciera également la présence de striker ; des attaques spéciales mettant en scène des soutiens logistiques variés. Chaque niveau s’achève par un affrontement titanesque avec un commandant de la nouvelle armée planetienne .On retrouvera ainsi avec plaisir la plupart des boss présents dans le premier épisode que les fidèles planetiens ont réanimé pour l’occasion, toujours aussi laids et méchants. Chaque analship a sa particularité : Analship X-poilu est résistant mais relativement lent, Analship X-Diarrhée propose un tir continu puissant mais s’irrite facilement, le rendant vulnérable aux assauts ennemis l’espace de quelques secondes et Analdhip X-Sodo encaisse bien les obus pénétrants des ennemis mais son rayon-gai est peu puissant.
Image 3:Cette masse gélatineuse n’est autre que Majest-blob, un parasite ami passé du coté obscur !
Image 4our activer la Delafon-warpzone, visez juste !
Planetship Mission :Anal Attack n’a plus le principal défaut de son prédécesseur, à savoir des stages qui se ressemblent tous. On regrettera cependant l’absence des musiques originales, remplacées pour l’occasion par des vocalises gutturales de mauvais goût censées reprendre les pistes audio de chaque shoot’em up revisité. Qui plus est, les « prout-prout » qu’accompagnent les tirs de l’Analship deviennent rapidement assourdissants. On pourrait également s’interroger sur le choix volontaire de Souille’Illusion d’introduire dans l’univers Planetship une atmosphère scabreuse non présente dans le premier opus. Autant dire que cet apport artistique douteux ne sera pas du goût de tout le monde. Quoi qu’il en soit, les amateurs d’action ne seront pas déçus, les lasero-fientes crépètent et finalement, c’est tout ce qu’on demande !
Dans les jours qui suivirent la défaite des forces planetiennes, les quelques rescapés, voyant leurs meneurs tombés un à un sous les assauts du parasite envoyé par les humains, entreprirent de se retrancher dans une autre dimension, la shootième dimension. Accessible par le biais d’un téléchargeur de roms infernal, l’armée planetienne se répandit peu à peu dans tous les plus grands shoot’em up de l’émulation avec pour abominable dessein une fois de plus de conquérir la terre et d’éliminer le parasite Souille responsable de leur première débâcle. Des mois passèrent, les forces du mal se reconstituèrent et le processus d’invasion du monde réelle par une brèche émulatio-temporelle était amorcé. Le compte à rebours avait débuté. Dès qu’il fût informé par les gouvernements qu’il parasitait des sinistres nouveaux projets des planetiens, la Souille entreprit d’éviter l’invasion en attaquant l’ennemi sur leur propre terrain, en s’engouffrant lui-même dans la shootième dimension par le biais des mystérieux voyages anaux. L’attaque anale peut commencer !
Dans ce second opus, il n’est plus question d’épée en bois mais d’analship. Le beat’em all qui fit le succés de Planetship premier du nom laisse sa place au shoot’em up horizontal pur et dur. A bord d’un de ses trois analships, notre parasite dispose de tout un arsenal fécal pour venir à bout des sbires du mécano-Tonio ; monstrueux droïde renfermant le cerveau de l’ancien empereur des planetiens. L’équipe de Souille’Illusion déjà à l’origine du premier Planetship Mission propose ici un voyage à travers les plus grands Shoot’em up de l’histoire des jeux vidéos : Gradius, R-type, Last Resort etc.
Image 1: Détruisez les shin-boules pour liberer le slip bouclier !
Image 2: Des tas de bonus : ici le cassoulet prout-speed
Chaque niveau d’Anal Attack nous propulse dans un shoot’em up connu de tous les amateurs de salles de jeux des années 80. Les décors sont les mêmes au pixel près, mais la peste planetienne a bouleversé l’équilibre ludique de chacun de ces jeux cultes. Des tas de bonus inédits viennent ponctuer l’avancée de l’analship dans l’enfer de la dimension shootième; des conserves de cassoulet pour passer en mode prout-speed, des Delafon-warpzones pour accéder à des stages cachés ou encore des slips boucliers permettant à l’analship de devenir invincible. On appréciera également la présence de striker ; des attaques spéciales mettant en scène des soutiens logistiques variés. Chaque niveau s’achève par un affrontement titanesque avec un commandant de la nouvelle armée planetienne .On retrouvera ainsi avec plaisir la plupart des boss présents dans le premier épisode que les fidèles planetiens ont réanimé pour l’occasion, toujours aussi laids et méchants. Chaque analship a sa particularité : Analship X-poilu est résistant mais relativement lent, Analship X-Diarrhée propose un tir continu puissant mais s’irrite facilement, le rendant vulnérable aux assauts ennemis l’espace de quelques secondes et Analdhip X-Sodo encaisse bien les obus pénétrants des ennemis mais son rayon-gai est peu puissant.
Image 3:Cette masse gélatineuse n’est autre que Majest-blob, un parasite ami passé du coté obscur !
Image 4our activer la Delafon-warpzone, visez juste !
Planetship Mission :Anal Attack n’a plus le principal défaut de son prédécesseur, à savoir des stages qui se ressemblent tous. On regrettera cependant l’absence des musiques originales, remplacées pour l’occasion par des vocalises gutturales de mauvais goût censées reprendre les pistes audio de chaque shoot’em up revisité. Qui plus est, les « prout-prout » qu’accompagnent les tirs de l’Analship deviennent rapidement assourdissants. On pourrait également s’interroger sur le choix volontaire de Souille’Illusion d’introduire dans l’univers Planetship une atmosphère scabreuse non présente dans le premier opus. Autant dire que cet apport artistique douteux ne sera pas du goût de tout le monde. Quoi qu’il en soit, les amateurs d’action ne seront pas déçus, les lasero-fientes crépètent et finalement, c’est tout ce qu’on demande !
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